" Puisque tu as nettoyé et désinfecté la semelle de mes bottes, je pense que tu ne verras aucun inconvénient à les lécher en signe de soumission à l’autorité qu’elles me confèrent. "
" Quand j’écarterai ainsi le pan de mon manteau pour dégager ma jambe et avancer mon pied, tu devrais comprendre, sans que j’aie à te le dire, que c’est pour que tu y déposes des baisers. C’est valable dès à présent. "
" J’ai accroché la clé de ta cage de chasteté à une branche du sapin. Sauras-tu la retrouver en ne te servant que de tes yeux si tu voulais pouvoir te branler ce soir, puisque nous sommes dimanche et que ça ne dépend plus que de toi ? "
" Mon autorité n’exclut pas la douceur pour peu qu’elle trouve en écho l’obéissance. Dans le cas contraire c’est moins les punitions que le bannissement qu’un homme risquerait. "
" Puisque tu ne peux pas te branler à cause de chasteté, si tu me le demandais gentiment, tu aimerais que je t’autorise à te positionner à califourchon au-dessus de ma botte pour que tu puisses frotter tes couilles dessus ? "
" Si pour le simple plaisir de te voir dans une situation humiliante je te demandais de venir lécher la tige de mes bottes, tu le ferais ? Oui, bien sûr, puisque tu aimes me faire plaisir. "
" Ce sera une soirée spéciale où je veux, que par nos tenues coordonnées, chacun sache que tu m’appartiens, même lorsque je ne te tiendrai pas en laisse. "
Comme un chien cherchant à montrer son affection et sa joie de la savoir rentrée, lécher le dessus des bottes de sa Reine pour l’accueillir avec tout le respect qu’Elle mérite.