" Tu ne nous verras pas mais tu pourras nous entendre et faire fonctionner ton imagination. Mieux ; lorsque nous aurons fini je te libèrerai de tes liens et de ton bâillon pour que tu puisses lécher le jus qui coulera de mon ventre. "
" Pauvre petite chose qui a son cul tout froid parce qu’il est posé nu sur le carrelage. Viens donc t’allonger sur mes genoux pour que je te le réchauffe à ma façon. "
Sous les coups de boutoir de son amant et devant son chevalier, faire des vocalises impudiques pour renforcer la frustration et l’humiliation de ce dernier.