Lorsqu’en fin de journée une Reine demande à son chevalier de se "branler" tout en sentant et léchant ses pieds, Elle le conditionne à associer ses odeurs de transpiration à un plaisir sexuel et s’assure qu’à terme – même sans stimulation – il sera excité à l’idée de le faire.
Elle même se sentira alors beaucoup plus Maîtresse et Reine en constatant que ses odeurs corporelles, loin d’être repoussantes, seront au contraire source d’émoi pour son soumis.
Pour attirer le regard d’un homme sur lequel Elles peuvent avoir des vues, certaines Reines n’hésitent pas à être provocantes pour la plus grande gène de leur chevalier s’il est à leurs cotés.
Lorsqu’une Reine a l’anus particulièrement innervé et sensible, le plaisir intellectuel de sentir le pouvoir qu’Elle exerce sur son chevalier, en lui imposant la bassesse de lui lécher le "trou du cul", se renforce du plaisir physique que lui procure sa langue, dans une caresse qui peut alors la conduire jusqu’à l’orgasme.
Une version revisitée de la Vénus à la Fourrure.
Top en dentelle, jupe de cuir, bas et escarpins à talons hauts : une tenue ultra-féminine pour une Femme fatale dont la cravache sert juste à rappeler qu’Elle est le "chef" dans son couple.
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Cette Reine pressée n’a pas pris le temps de retirer sa veste mais juste d’ôter sa culotte (en avait-Elle ?) et de prendre l’apéritif préparé par son chevalier que déjà Elle attend sa langue.
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Difficile pour un chevalier de soutenir le regard de celui qui le fait cocu, même s’il sait que ses amants font aussi le bonheur de sa Reine.
Une Reine saura toujours trouver un peu de temps dans la journée ou dans la semaine pour revenir aux fondamentaux et rappeler à son chevalier qu’Elle est aussi Maîtresse et lui soumis.
L’avantage quand on est Reine, c’est qu’on n’a pas à choisir et que l’on peut goûter à tous les partis.
Y a t-il pire frustration pour un homme que de ne pas pouvoir pénétrer le ventre de celle qu’il aime ?
Oui, celle de la voir (ou la savoir) prendre le sexe d’un autre homme afin de l’accueillir dans son intimité.
