Rares sont les Femmes qui n’ont pas testé un jour (avec succès) la capacité de leur partenaire à accepter de s’abaisser et d’égratigner leur ego par amour pour Elle.
Malheureusement la plupart se contentent de cette victoire et ne poussent pas plus loin l’expérience, alors même que beaucoup d’hommes (même s’ils ne le savent a priori pas) seraient prêts à les suivre dans cette voie les conduisant à devenir Reines.
Quand son amant n’est pas fan de préliminaires et que son chevalier est sur place, une Reine peut lui faire comprendre avec grâce qu’Elle attend de lui qu’il se substitue au premier pour accomplir cette tâche.
Après lui avoir appris à plier devant son autorité Féminine, à vénérer ses objets et son univers Féminin, apprendre à son chevalier à honorer également toute représentation picturale de la Femme.
" Mon chéri, je sais que tu préférerais sentir mon ventre ou ma bouche exciter ta quéquette mais sois positif, tu es le seul que je branle ainsi régulièrement et à qui je procure un orgasme uniquement manuel pour mieux le contrôler. Imagine que je pourrais m’arrêter et te laisser frustrer. Tu ne le souhaite pas non ? Alors demande moi gentiment et avec tous les égards qui me sont dus de te faire gicler comme un vilain garçon en manque. "
Si l’image est un peu "cheap", elle résume ce qui (me) semble fondamental dans une relation Reine / chevalier, à savoir qu’elle ne peut être pérenne sans amour réciproque.
Que faire quand on est ainsi en laisse aux pieds de sa Reine si ce n’est les vénérer en signe de soumission.
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" Vous aimez ? Oui je sais mon mari est là mais ça ne pose aucun problème. C’est un gentil garçon qui a compris que mon bonheur passe par ma liberté "
Lorsqu’une visiteuse amie de la Reine est au courant du type de relation qu’Elle entretient avec son chevalier, pourquoi changer leurs habitudes en sa présence ?
Une position peu banale pour un acte qui ne l’est pas plus mais qui par sa force symbolique (entre autres) permet à une Femme d’affirmer sa supériorité et à un homme de reconnaitre sa soumission.
Un chevalier aimant n’aurait aucune raison de ne pas comprendre et accepter que sa Reine puisse prendre avec un autre un plaisir qu’il ne saurait lui donner.
