Une attitude arrogante de la part d’une Femme (généralement Reine) vis à vis d’un homme, n’est pas forcement une forme de dédain ou de désintérêt le concernant mais la manifestation du fait qu’Elle entend bien qu’il comprenne qu’Elle ne se sent ni inférieure ni même égale à lui mais supérieure (et ce quelles que soient l’affection ou l’amour qu’Elle lui porte quand il s’agit de son chevalier).
Le mettre en laisse sert moins la satisfaction de l’ego d’une Reine que le conditionnement de l’esprit de son chevalier qui peut ainsi mieux mesurer son appartenance, non seulement spirituelle mais également physique, à celle qui l’a choisi.
Quelles que soient ses qualités, son intelligence ou son charisme dans sa vie sociale, un homme timide – et/ou à tendance soumise par ailleurs – se sentira toujours petit en présence d’une Femme dominante.
Lorsqu’Elle en fait son chevalier, une Reine a donc tout intérêt à renforcer ce complexe d’infériorité pour qu’il ressente mieux sa supériorité et pour le conduire à accepter tout naturellement son autorité Féminine.
La panoplie de soubrette provoque un intérêt partagé par de nombreuses Reines, même quand Elles ne sont pas (ou peu) attirées par le fait de féminiser leur chevalier.
A la vue de ses jambes, il est difficile de ne pas imaginer – au moins pour certains hommes – que cette Femme est non seulement libertine mais également Dominante.
Epilée, portant un bijou qu’Elle a choisi, coincée entre ses bottes et sa cravache, cette quéquette est indubitablement contrôlée par cette Femme ainsi que celui qui la porte qui a accepté de se soumettre à son autorité.
Il n’existe pratiquement aucun lieu où une Reine ne puisse pas trouver un moyen de rappeler à son chevalier que c’est Elle qui détient le pouvoir.
Même s’il lui en coûte et lorsqu’il en a accepté volontairement le principe (ou la règle) faire cocu son chevalier n’est peut être pour une Reine considéré comme une forme de tromperie au caractère immoral. Tout juste pourrait-Elle être considérée comme amorale par des âmes bien pensantes, puisqu’Elle fait fi de la morale qui veut qu’une Femme mariée soit monogame, cette "amoralité" n’étant de toute façon pas condamnable puisqu’elle ne trouble en rien l’ordre public.
Avant d’agir, et quelles que soient les circonstances, un chevalier doit apprendre à gérer les (parfois longs) moments d’attente qui précèdent les contraintes qu’il va subir ou les ordres qu’il va recevoir.
Contrairement à ce qu’on pourrait croire, avoir une forte libido n’est pas une pulsion réservée à certains hommes mais elle touche également de nombreuses Femmes (dont sans doute une partie de mes lectrice fidèles)
Malheureusement, Elles sont souvent obligées de rester célibataires pour assumer cette libido et les besoins qui en découlent ou alors de refreiner leurs pulsions lorsqu’Elles vivent en couple de manière traditionnelle (un homme aussi aimant et performant soit-il, ayant du mal à satisfaire leurs besoins sur le long terme).
Trouver un homme par nature fidèle mais qui comprenne ces besoins et leur goût plus ou moins prononcé pour la polygamie constitue la solution idéale leur permettant à la fois de vivre une relation sentimentale sécurisante et une vie sexuelle riche d’expériences multiples.
Pour peu que ce dernier soit aussi de nature soumise (ce qui est généralement le cas) Elle pourra exploiter et développer ce trait de caractère pour devenir Reine en son foyer et profiter ainsi de tout ce qui fait l’attrait de sa Féminité.
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