" Désolée si je te parais manquer de sensualité mais à semaine ordinaire, branlette ordinaire et tu ne pourras pas dire que je mésestime tes besoins sexuels ni que je ne prends pas en charge régulièrement leur satisfaction même si je privilégie efficacité et rapidité quand je ne suis pas d’humeur romantique. "
" Puisque j’assume de porter une chaîne de cheville pour signifier que je te fais cocu, à toi d’assumer que tu me reconnais ce droit et que tu l’accepte sans réserve en venant lécher le sperme de mon amant, "
" Même si c’est pour m’honorer que tu devras le porter il me semblait important de te laisser choisir celui qui t’inspire le plus. "
" Bien sûr que je suis un ange mais au sens où, si je ne prétend pas être une Déesse, j’estime que suis bien au dessus des hommes et qu’à ce titre je mérite leur dévotion. "
" Quand tu es ainsi nu devant moi plus rien ne te protège hormis ma bienveillance. Plus je t’abaisserai plus tu me seras gré de te relever et, quand je casserai ton ego de mâle, ce sera pour mieux te reconstruire en tant qu’homme convaincu de ma Supériorité et prêt à vivre en osmose avec mes idées. "
Plutôt que de s’asseoir sur une chaise réservée à l’accompagnateur d’une cliente, rendre hommage à cette dernière en y déposant ses sacs pour les protéger.
" Montre-moi que tu n’as pas besoin que je te batte aux échecs pour reconnaître ma Supériorité et que, plutôt que de prendre une Reine, il y a meilleur moyen de l’honorer. "
En été, un jardin à l’abri des regards peut être un excellent endroit pour accorder sa branlette dominicale à son chevalier, pour peu que l’on s’assure qu’il saura le faire sans bruit.
Il est des Reines qui, comme des chineuses, ne laissent pas passer un objet rare et convoité quel qu’en soit le prix à payer (pour l’ego de leur chevalier).
" Toi qui m’as dit que tu appréciais les Femmes qui savaient s’affranchir des clichés du patriarcat, j’espère que tu apprécies que je ne fasse aucun effort pour te faire croire que tu n’as pas une bite de cocu. Tu serais prêt à aller jusqu’où dans le matriarcat pour avoir l’honneur de devenir le mien ? "
