" Si vénérer mes bottes pourrait devenir un jour pour toi une obligation, tu ne devras jamais oublier que ce sera un privilège et un honneur que je te ferai en te laissant y déposer tes baisers. "
Une position, au caractère un peu équivoque, qui rappelle que, le temps aidant, le besoin de se faire honorer ainsi par son chevalier comme preuve physique de l’emprise psychologique qu’Elle exerce sur lui, ne l’est plus.
Ni la frustration d’être en cage de chasteté, ni l’humiliation de savoir sa Reine revenir de chez son amant ne suffisent à freiner l’excitation de devoir plonger sa langue au cœur du triangle qu’Elle offre ainsi à la vénération de son chevalier.
Chaque jour de l’année (et pas seulement le 8 mars) un chevalier se doit, de quelque manière que ce soit, d’offrir à sa Reine les preuves de son respect, de son humilité, de son obédience et de sa dévotion.