Même lorsqu’il ne s’agit pas d’une formule au second degré, l’intimité d’une Reine peut abriter un dessert qu’Elle entend faire déguster à son chevalier en lui rappelant, par une métaphore culinaire, qu’il est chaste et cocu.
" Maintenant que tu m’as bien matée te faire cocu, viens me lécher comme un gentil mari conscient de son incapacité à me faire jouir autrement qu’avec sa langue. "
" Comme tu l’auras certainement deviné j’ai été une vilaine Fille en ton absence mais toi, sauras-tu me prouver que que tu es un gentil garçon qui sait pardonner en glissant ta langue dans le réceptacle de mon infidélité ? "
" Maintenant que tu es juste vêtu de ton collier approche-toi que j’y accroche ma laisse. Mieux que notre union, elle symbolise aussi ton appartenance. Après seulement tu pourras embrasser ma botte en me remerciant de t’éduquer à honorer mon Féminin et à reconnaître ton infériorité. "