" Puisqu’il paraît qu’on est ce qu’on mange, tu vas laper son sperme comme un gentil cocu soumis. "
Archives pour la catégorie Vénération
Botanique
" Viens donc lécher ma fleur et goûter au fruit de la rencontre de mon pistil avec son étamine. "
Regard et langue
" Si tu ne sais pas où poser ton regard, je sais parfaitement où tu poseras bientôt ta langue pour me prouver ta volonté d’allégeance. Sur un endroit que tu ne peux pas encore voir et sur lequel je suis assise en ce moment."
Mettre en valeur
" Puisque tu as à nouveau une sexualité de petit garçon il est normal que tu t’intéresses de plus en plus à ma poitrine et je prends du plaisir à la mettre en valeur pour t’y encourager. En te l’offrant à téter je ne te nourrirai pas de mon lait mais de l’ascendant que j’exerce sur toi, de l’adulte sur l’enfant qui recherche le refuge d’un sein protecteur pour oublier le reste. Ne trouves-tu pas que cela créé une intimité bien plus forte, pérenne et romantique que des accouplements sauvages qui il y a encore peu étaient le moteur de tes fantasmes ? "
Offrir sa langue
Quel que soit le moment, quel que soit le besoin, un chevalier est conditionné à offrir sa langue à l’intimité de sa Reine dès qu’elle se présente à sa vue.
Baisers de confirmation
" Ne trouves-tu pas que leur brillance correspond parfaitement à ma personnalité et à mon statut ? Elles n’attendent plus que tes baisers pour confirmation. "
Pointer
La cravache comme prolongement du bras d’une Reine pour pointer l’endroit où Elle souhaite voir son chevalier déposer ses lèvres.
Attendre les ordres
A ce point, ne pas savoir encore si sa Reine attend de simples baisers sur sa peau nue ou qu’il glisse sa langue dans son sillon fessier.
Si empressé
" Si tu ne portais pas une cage de chasteté, crois-tu que tu saurais aussi empressé de me lécher quand je reviens de chez mon amant ? "
Le même geste
" La dernière fois que j’ai écarté ainsi ce short c’était pour offrir ma chatte à la queue d’un amant. Aujourd’hui c’est presque pareil puisque je refais exactement le même geste pour l’offrir à la langue de mon petit mari. "
