" Halloween est une journée comme les autres pour moi, même si j’aime me grimer en sorcière pour te rappeler que j’ai tous les pouvoirs comme, par exemple, celui de contrôler ta sexualité en te faisant porter une cage de chasteté qui t’a empêché de jouir depuis un mois maintenant, celui de séduire un homme ce soir pour te faire cocu et même celui de te faire embrasser mes bottes pour me remercier de les exercer. "
" C’est justement parce que tu es un homme que j’apprécie que tu acceptes de ramper vers moi comme un chien pour me prouver ta dévotion. "
Quels que soient les moyens initialement employés par Elle, il est toujours réconfortant pour une Femme de constater que l’amour que lui porte un homme confine à la pure dévotion.
" Comme tu peux le constater, je sors ce soir mais que ça ne t’empêche pas de te glisser sous le bureau pour me lécher en guise d’apéritif. Qui sais si tu n’auras pas l’occasion de le refaire ce soir mais cette fois c’est moi qui t’offrirais ton dessert. "
" Qui est-ce qui va se régaler en léchant les bonnes friandises que sa Femme lui offre après le diner ? "
" Viens te glisser sous ma robe et lèche-moi comme si ta vie en dépendait. "
Quand il porte une cage de chasteté, un chevalier n’a aucun doute quand il s’agit de comprendre que sa Reine attend sa langue.
" Qu’est ce que tu préférerais ? Pouvoir glisser, comme moi, ta main dans ta culotte pour caresser ton sexe ou remplacer ma main par ta langue pour lécher le mien ? Suis-je bête ! J’avais oublié que tu dois encore garder ta cage de chasteté pendant encore 4 longues semaines mais je suis ravie de savoir que tu vas choisir la seconde option. "
" Ouvre là en grand pour que je sache si j’ai trouvé bouche à mon pied. "
" Mon pauvre amour. Je sais que quand je retire ainsi ma chaîne de cou c’est pour toi l’espérance que je vais déverrouiller le cadenas de ta cage de chasteté, pour que tu puisses te branler, mais nous sommes en octobre et elle va être déçue parce que je ne veux pas déroger à la règle qui veut que ce soit un mois d’abstinence masculine. J’espère que tu ne m’en voudras pas de cette taquinerie qui te rappelle que c’est moi qui décide et que ta langue saura encore me prouver que seuls comptent réellement les orgasmes qu’elle me procure. "
