Archives pour la catégorie Réfléxions

Leurre

" J’imagine combien ça peut être frustrant de voir ce gode, ou d’imaginer la queue de mes amants, se glisser là où ton zizi de bébé n’ira jamais mais reconnait, qu’à moins de ne pas se respecter, aucune Femme ne se donnerait à un homme en sachant qu’elle n’en tirerait aucun plaisir. Heureusement tu as d’autres talents mon bébé. Viens sucer mon clitoris comme si c’était mon téton pour que mon vagin se contracte autour de ce leurre et qu’à vous deux vous me donniez un magnifique orgasme. "

Déculpabiliser

" Bien sûr que je te fais confiance mais reconnais que la tentation de pouvoir le faire malgré tout rend la frustration liée à ton obéissance plus grande. Avec une cage, plus de choix possible, il te sera totalement impossible de la toucher ou de te branler donc tu ne risques plus d’être tenter de me désobéir, tu n’auras plus de sentiment de culpabilité à cette idée et en libérant ton esprit de cette frustration, tu lui permettras de mieux se concentrer sur la satisfaction de mes propres plaisirs. "

Enfants

" Honnêtement, tu as tes enfants, moi les miens et nous n’en ferons pas ensemble. A quoi bon faire l’amour alors, puisque je peux trouver des amants bien mieux membrés que toi et que je peux disposer de ta langue à volonté ? Ceci étant dit, tu peux me lécher maintenant. "

Fessées ou martinet

" Les fessées ou le martinet n’ont jamais tué un homme mais ils lui rappellent sa place dans un couple comme le nôtre. Celle d’un petit garçon obéissant et respectueux qui a accepté de s’en remettre à l’autorité et au contrôle d’une Femme responsable de la bonne marche de ce dernier. Et puis quel délicieux contraste. Moi qui ait le pouvoir de rougir tes fesses alors que ton devoir est d’embrasser les miennes. "

Imposition plaisante

" J’imagine combien ça doit être très humiliant de ne pouvoir te branler qu’en ma présence pendant que j’écarte les jambes pour que tu penses aux hommes qui me baisent alors que tu ne le feras jamais et je dois t’avouer que j’adore ça. Sinon pourquoi te l’imposerais-je puisque c’est mon plaisir qui compte avant tout. "