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Le materner

" Si j’aime te fesser ce n’est pas juste pour le plaisir de t’humilier mais parce que, puisque tu n’as rien d’un homme, j’aimerais que tu te sentes de plus en plus petit garçon, obéissant, malléable, incapable de résister à mes demandes dégradantes pour toi, qui te rendront si attendrissant qu’après j’aurai envie de te materner pour mieux te relever. "

Bon début

" Pour un début c’est un bon début. Au cours des prochaines semaines et des prochains mois tu apprendras à t’abaisser devant moi de toutes les manières que je jugerai opportunes pour exalter ma grandeur et imprégner ton esprit de ta bassesse et d’un sentiment d’infériorité face à moi qui ne te quittera jamais plus. "