"Sois tu reconnais que ta faute est impardonnable et tu me demandes de reporter ta branlette dominicale d’une semaine à titre de juste punition, soit tu t’obstines et c’est moi qui la reporterai d’un mois. "
Plutôt que des slips ou caleçons un peu ternes, préférer faire porter à son chevalier des culottes connotées, qu’Elle aura choisies pour lui, qui leur rappelleront à tous deux qu’il n’a rien de viril.
" Ça n’a rien à voir. Bien sûr que tu es et resteras toujours le premier dans mon cœur mais ça n’empêche pas que je ne baiserai jamais qu’avec le n° 2, le n°3, le n°4… "
" Non mon chéri. La bonne question n’est pas de me demander si tu pourras te branler ce soir mais serait de me demander ce que tu pourrais faire pour moi afin de me convaincre que tu le mérites. "