" Quand je joue ainsi avec ton zizi, j’ai l’impression de déniaiser un ado encore puceau, subjugué par ma caresse et tétanisé à l’idée que je m’arrête. Exactement comme toi qui sait que tu ne peux rien espérer de plus de moi qu’une branlette, sans savoir si je te la donnerai. "
Avant une fessée éducative, le déculotter Elle-même pour qu’il se sente plus petit garçon, placé sous l’autorité d’une Adulte.
Comme autrefois la maitresse d’une maison bourgeoise, se servir d’une clochette pour appeler son chevalier, qui fera office de soubrette, pour contrôler sa tenue avant l’arrivée de ses invités.
" Ai-je l’air de plaisanter ? Non ? Alors tu te tais et tu obéis. "
" Malheureusement pour toi, le plaisir que j’avais à te faire bander lorsque nous nous sommes rencontrés était bien moins aphrodisiaque que celui que j’ai à t’empêcher de le faire, maintenant que nous sommes fiancés. "
" Tu vois, virtuellement toute Femme est capable de pisser dans un urinoir mais, dans le réel, me concernant et quitte à rester debout, je préfèrerai le faire dans ta bouche. "
" Il fait la taille d’une bite dans la moyenne mais, même sans le faire vibrer, je le préfère à la tienne. Je serais toi je me poserais des questions sur l’attrait que ta virilité peut susciter chez une Femme. "
" C’est intéressant de voir à quel point les bons dressage et conditionnement d’un mâle lui font perdre tout ego. Malgré le ridicule et le caractère humiliant de sa situation, il préfère se branler et éjaculer sur une serpillière devant nous, plutôt que conserver un minimum de dignité, quitte à renoncer à un orgasme. "
" Toi qui les vénèrent, tu devrais être flatté de savoir que tu vas être fait cocu par une Femme qui partagent les mêmes opinions que moi sur les hommes. Trinquons à cette bonne nouvelle et à ce week-end exclusivement dédié aux plaisirs Féminins. "
" J’espère pour toi que tu sauras être un gentil garçon très obéissant parce que sinon je suis sure que ça va faire rigoler les filles du basket de savoir que le capitaine du rugby à une toute petite bite de cocu. "
