Archives pour la catégorie Images

Bonne soirée

"Bonne soirée mon amour… Désolée de t’avoir mis ta cage de chasteté mais tu sais que j’aurais horreur de savoir que tu pourrais te tripoter pendant que je serai avec mon amant. Je veux que tu ne penses qu’au plaisir qu’il pourra me donner et que tu te concentres sur l’idée que tu devras me nettoyer et me faire jouir à mon retour. Après cette dernière jouissance, tu auras le droit de te branler pendant que je te raconterai ma soirée."

Cuillerée

Par définition une relation D/s est fondée sur la confiance et une Reine ne fera jamais rien qui puisse mettre en danger l’intégrité physique de son chevalier.

Partant de ce principe, lorsque cette dernière tend une cuillère à son chevalier et quel que soit son contenu, sperme, urine, diurétique, laxatif ou tout simplement de la nourriture, il devra l’ingurgité sans sourciller, quand bien même les effets immédiats ou à venir pourraient lui causer un désagrément.

Cette obligation est d’autant plus grande lorsqu’Elle est avec une amie et qu’il serait particulièrement mal venu de remettre en cause son autorité – et la qualité de son dressage – en présence de celle-ci.

Allier utile et agréable

Se faire lécher les pieds par son chevalier est pour une Reine un bon moyen de joindre l’utile à l’agréable.

D’un côté sa langue la débarrasse des odeurs de transpiration liés à son activité de la journée, de l’autre elle lui permet de profiter d’un doux massage lingual aussi agréable que réparateur.

Enfin elle s’assure – et ce n’est pas la moindre des choses – du degré d’obédience et de soumission de son chevalier ainsi que de sa capacité à vénérer chaque partie de son corps.

Aveux

Lorsqu’une Reine branle son chevalier, Elle peut tout obtenir de lui, notamment des aveux qu’il n’aurait sans doute pas prononcés en dehors de cette (douce) torture.

Un exemple (parmi d’autres) serait de lui dire :

  • Tu aimes savoir que je couche avec d’autres hommes ?
  • Tu aimes savoir qu’ils touchent mes seins ?
  • Tu aimes savoir qu’ils me pénètrent (s’il est chaste : alors que toi tu ne peux pas le faire) ?
  • Tu aimes savoir qu’ils jouissent dans mon intimité ?
  • Tu aimes (aimerais) nettoyer leur sperme avec ta langue ?
  • Donc tu aimes être cocu ?
  • Dis le moi !…

Emporté par l’excitation et de peur que sa Reine n’arrête de le branler si Elle n’obtenait pas la réponse attendue, celui-ci répondra oui à toutes les questions (même s’il n’en est pas fondamentalement convaincu) pour finalement reconnaitre qu’il aime être cocu.

Forte de ces aveux – et quelles que soient les raisons qui par ailleurs la pousse à le faire cocu – Elle pourra plus tard lui rappeler qu’après tout c’est lui qui est demandeur et qu’il est donc – au moins partiellement – responsable de cet état de fait dont il devrait se louer et non se plaindre.

Le Martinet

L’objet

Alternative à la fessée ou à la cravache, le martinet constitue parfois une pièce essentielle dans le cadre du dressage d’un chevalier.

Là encore, il peut ne pas être uniquement punitif mais également un objet de conditionnement, visant à mettre le chevalier dans un état de petit garçon acceptant de plier devant l’autorité Féminine.

Une idée de rangement

Plutôt que de le ranger dans un placard ou une boite, le mettre dans un sac à main en fera au moins symboliquement un accessoire indispensable à la Reine – au même titre que son rouge à lèvres – et signifiera qu’il est clairement destiné à appartenir à un Femme (et à utiliser comme Elle l’entend).