Avant de rejoindre un amant potentiel, une Reine doit s’assurer de tout avec le concours de son chevalier.
"Suis-je assez sexy pour le séduire ?"
"J’ai besoin d’un petit coup de langue pour être parfaitement fraiche."
Si la fessée peut être un moment ludique pour une Reine, c’est aussi un moyen de conditionner son chevalier à accepter de se sentir dans la peau d’un petit garçon face à Elle et donc de lui obéir et de la respecter. En effet, c’est moins la douleur des coups, que la situation humiliante dans laquelle il se retrouve ainsi qui est cuisante pour lui.
Ce n’est pas parce qu’Elle donne du plaisir à son chevalier qu’une Reine ne doit pas le rendre néanmoins humiliant.
Le branler parfois en portant des gants de vaisselle rendra son plaisir – en attendant le moment de la jouissance – beaucoup plus diffus et moins agréable qu’à main nue (ou gantée de cuir).
Le branler ainsi c’est aussi lui signifier qu’Elle n’y prend pas de réel plaisir et que cette purge constitue pour Elle un acte ménager, au même titre que de déboucher un évier.
Passer un collier avec laisse à son chevalier est pour une Reine l’occasion de lui rappeler, non seulement qu’il lui appartient mais également qu’à des moments choisis par Elle, il perd toute liberté pour ne plus devenir (toutes proportions gardées) qu’un petit animal fidèle, dressé pour lui obéir et la satisfaire.