" Dis-moi. Ainsi tu es soumis ? Tu sers toujours les amies de ta Maîtresse en étant dévêtu ? Tu aimes exhiber ta quéquette dans sa cage de chasteté ? Ca fait combien de temps que tu n’as pas fait l’amour ? Que tu t’es branlé ? Tu aimes être abaissé par une Femme supérieure ? Tu me considères comme t’étant supérieure ? Tu aimerais embrasser mes bottes pour me le montrer ? Embrasser mon cul ? Je veux tout savoir !…"
Tel un bourdon chaste qui se nourrit du nectar des fleurs, un chevalier vit dans l’attente que sa Reine offre à sa délectation la fleur aux nectars les plus précieux : son intimité.
Si dans une relation Reine / chevalier l’esprit prédomine sur la lettre, la présence d’une badine (ou de tout autre objet équivalent) dans les main de la Reine, rappelle instantanément au chevalier la nature et l’esprit de leur relation.
" Mon chéri. Maintenant que j’ai fini de manger : à toi. Ma minette est encore pleine d’une délicieuse crème déposée par mon amant avant que je ne rentre à la maison. "
Si jupe ou robe sont plus pratiques, un pantalon ne constitue jamais un obstacle insurmontable pour une Reine qui souhaite pouvoir, à tout moment, rappeler à son chevalier le respect qui lui est dû en se faisant lécher l’anus.
Mieux qu’un chippendale, une Reine peut offrir à une amie, pour son anniversaire, le spectacle des gestes mais aussi de l’humiliation d’un homme (son chevalier) devant s’exhiber sur ordre pour offrir ce qu’il a de plus intime en se branlant devant Elle.
Faire porter – parfois – à son chevalier une micro jupe n’a normalement pas pour but de le rendre plus féminin mais de lui faire perdre ses repères masculins (voire s’il a un petit zizi de mettre en exergue son absence de virilité) afin de le rendre plus vulnérable et donc plus soumis à l’autorité de sa Reine.
" Merci mon amour, mes bottes sont parfaites. Je rentrerai dimanche soir. D’ici là sois sage et pense au plaisir que me donnera mon amant ce WE."
Quand la tenue rejoint l’esprit, même celui qui s’estime le meilleur chasseur peut devenir proie.
Si on a tous plus ou moins des pulsions exhibitionnistes, les valeurs morales de notre société font qu’elles sont pour l’essentiel refoulées.
Une Reine, par contre, dans le cadre de l’intimité d’un ménage à trois – même provisoire – peut plus facilement se désinhiber et offrir sans complexe, le spectacle des orgasmes que lui donne son amant, à la vue de son chevalier, et les rendre ainsi plus violents.
