" Je serais toi, je serais moins gênée par la robe que je te fais porter que par le fait qu’elle serve à cacher une si petite quéquette. Si tu avais un vrai sexe de mâle je t’aurais laissé t’habiller comme un garçon. "
" Tu as vu comme le corps est adaptable. Privé de la douceur d’un vagin ou d’une bouche ton zizi est maintenant aussi excité au contact d’un gant de vaisselle qui le branle. "
" Avec ce genre d’ouverture, pas besoin de retirer ma combinaison pour pouvoir pisser et, puisque je t’ai sous la main, pas besoin non plus de me déplacer jusqu’au toilettes pour le faire. "
Même lorsqu’il ne s’agit pas d’une formule au second degré, l’intimité d’une Reine peut abriter un dessert qu’Elle entend faire déguster à son chevalier en lui rappelant, par une métaphore culinaire, qu’il est chaste et cocu.
" Tu m’as l’air d’être un gentil garçon mais penses-tu que tu seras capable d’apprendre rapidement à supporter mes désirs, mes choix, mon égocentrisme, mon arrogance et l’autorité que j’exercerai sur toi sans te rebeller ? Et à accepter de t’abaisser devant moi pour reconnaître ma Supériorité ?