Lorsqu’une Reine revêt ainsi une robe en vinyle (qui supporte les éclaboussures) et qu’Elle demande à son chevalier de s’agenouiller à ses pieds, il n’est pas rare que ce soit dans le but de l’asperger de son urine.
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Moment de demi fête
Se branler en ayant le droit de jouir sur le pubis de sa Reine est pour un chevalier chaste et cocu un grand moment d’excitation mais aussi d’humiliation pour peu que cette dernière soit assez perfide pour lui rappeler – alors qu’il s’astique – que d’autres hommes ont le droit de se vider non pas sur son ventre mais DANS son ventre.
C’est si bon
Pour certaines Reines, il est si bon de sentir non seulement la caresse de la langue mais aussi le pouvoir qu’Elles exercent sur celui qui la possède, qu’Elles n’hésitent pas offrir leur anus à lécher plusieurs fois par jour.
Belle
Même si ce n’est pas son sperme qui s’écoule de son vagin, après qu’Elle eut fait l’amour, un chevalier ne pourra trouver sa Reine qu’incroyablement belle.
Regard doux
Un regard si doux dans les yeux de cette Princesse (amie de la Reine ?) mais aussi un doigt levé qui indique sans ambiguïté que quand c’est non, c’est non !
Offre vs Demande
Quand l’offre est manifestement largement inférieure à la demande (même raisonnable), un chevalier voit sa probabilité d’être cocu augmenter de manière dramatique.
Pipe amicale
Lorsqu’une chevalier – même dans l’intimité – n’a pas le droit à ce genre de gâterie, lui faire prendre une photo de sa Reine pratiquant la fellation sur un de ses amants -par défi ou pour l’humilier – ne pourra qu’accroitre sa frustration.
En couche
Rien à voir avec l’ABDL (Adult babies, diaper lovers – Bébés adultes, amoureux des couches) même si une Reine peut être attirée par ce genre de jeu, ne serait-ce que de manière ponctuelle (à Elle de le dresser en conséquence), faire porter une couche à son chevalier et l’obliger à la mouiller – au pire le temps fera son œuvre – sera pour lui une source de grande humiliation mais aussi une manière de comprendre que sa Reine peut tout contrôler, jusqu’à ses fonctions urinaires.
Là encore c’est un moyen de le conditionner – comme par la fessée – à se sentir petit garçon (voire tout petit garçon puisqu’il porte une couche humide) totalement dépendant des désirs de l’adulte qu’est son éducatrice.
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Pire et ironiquement, dans un second temps, une fois que le chevalier aura uriné dans sa couche, la Reine pourra uriner dans sa bouche, pour bien marquer leur différence de statut (le soumis se pisse dessus et la Maîtresse lui pisse dedans).
NB : Si tout conditionnement réclame une certaine récurrence, le conditionnement par la parole, en rappelant à son chevalier dans quelle situation il s’est trouvé, permet aussi à une Reine, sans la renouveler, de le rendre honteux et donc forcement plus soumis.
Vie ordinaire
Le propre d’une Reine est de n’être ni étonnée, ni même gênée lorsque son chevalier la "surprend" en train de batifoler avec un amant. Après tout c’est dans l’ordre des choses pour certains couples…
Intimité poisseuse
Variation pour un même thème.
Lorsqu’Elles reviennent de chez leur amant de nombreuses Reines souhaitent utiliser la langue de leur chevalier pour nettoyer leur intimité encore poisseuse des turpitudes des heures précédents leur retour.
Qu’Elles aient gardé sous leur robe leurs sous vêtements ou pas, il leur suffit de la retirer pour lui donner pleinement accès aux sucs – ou au sperme – dont il devra les débarrasser.
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