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Impératif VS conditionnel et indicatif

Passer du statut de Femme à celui de Reine n’est pas toujours aisé, notamment lorsqu’il s’agit de s’imposer verbalement face à son chevalier. Plutôt que de forcer sa nature au risque de perdre toute crédibilité, il est souvent plus facile de procéder en plusieurs étapes.

La première consiste à utiliser le conditionnel en faisant part de ses souhaits (auxquels un chevalier digne de ce nom ne pourra qu’accéder)

  • J’aimerais que tu te déshabilles
  • J’aimerais que tu te mettes à genoux devant moi
  • J’aimerais que tu embrasses mes pieds

Une fois qu’Elle aura constater que son chevalier est vraiment soumis et qu’il répond à ses souhaits, la Reine peut devenir plus directive.

  • Je veux que tu te déshabilles
  • Je veux que tu te mettes à genoux devant moi
  • Je veux que tu embrasses mes pieds

Enfin, totalement à l’aise vis à vis d’Elle même et consciente du pouvoir qu’Elle exerce sur son chevalier, Elle pourra devenir impérative.

  • Déshabille-toi
  • Mets-toi à genoux devant moi
  • Embrasse mes pieds

Qui va piano va sano et – là encore-  c’est à la Reine d’agir suivant son ressenti et pas en fonction des présumées attentes de son chevalier.

Ecrin pour quéquette

Puisque qu’il n’y a pas d’alternative entre les deux sexes, imposer le port de petites culottes de Femme à son chevalier a moins pour but de le rendre plus féminin (ce qu’il ne pourrait pas être d’ailleurs dans la plupart des cas) que de le rendre moins masculin (comme lorsqu’il est nu).

En effet, quel que soit son degré de soumission, un homme a été éduqué dans un monde ou le masculin l’emporte bien souvent sur le féminin.

Lui faire perdre ses repères masculins le conduit donc plus facilement à accepter plus facilement la supériorité féminine.

Cette perte de repère sera d’autant plus prégnante, lorsque son zizi emballé dans un string de Femme (donc non prévu pour recevoir cet appendice) sera incapable d’en décoller l’élastique à la taille, même en érection.

L’humiliation d’être nu

Depuis la nuit des temps l’homme cache ses parties génitales (moins par pudeur au début que pour les protéger) et aujourd’hui la nudité le fait se sentir vulnérable.

Ce sentiment est d’autant plus fort lorsque c’est face à une personne habillée, qui plus est une Femme.

Un homme habillé en "mec" peut toujours donner l’illusion qu’il est un vrai "mec". Nu, le masque tombe souvent.

Etre nu devant une Femme habillée c’est ne pas pouvoir se cacher derrière les apparences, invoquer une forme de supériorité quelconque, revendiquer des droits mais au contraire se sentir petit garçon à qui on interdit toute forme de pudeur.

Pire, être nu devant Elle c’est aussi exposer son sexe et prêter flanc à la critique (s’il n’est pas imposant) ou aux moqueries (s’il est particulièrement petit) donc accepter la remise en cause de sa virilité (ou de son absence) au profit des valeurs de la Féminité portées par celle devant qui on s’exhibe.

Accepter de se dévêtir ainsi sur ordre c’est reconnaitre sa soumission envers la Maîtresse qui l’ordonne et donc le respect qu’on lui doit.

Si la nudité 24h/24, 7j/7 en présence de sa Reine fait partie des fantasmes, des exercices réguliers (quotidiens ?) mettant le chevalier dans ces conditions face à Elle renforcent naturellement le pouvoir qu’Elle exerce sur lui.


 

Longueur

Cette Reine qui préfère manifestement la longueur à l’épaisseur n’a sans doute pas trouvé en son chevalier celui qui pourrait la satisfaire sur ce point.

Comment, dans ces conditions, ce dernier ne pourrait-il pas comprendre et admettre qu’accepter d’être cocu est le seul moyen de lui offrir le plaisir de sentir un vrai pénis dans son ventre ?