Avant qu’Elle ne reçoive un amant, offrir de petits coups de langue bien placés sur l’anatomie de sa Reine est pour un chevalier l’occasion de lui prouver non seulement sa dévotion et l’amour qu’il lui porte mais également de lui signifier la pleine acceptation de son statut de cocu.
Lorsque sa Reine décide de jouer au strip poker, un chevalier bien dressé comprend qu’Elle entend l’exhiber nu devant ses amies et qu’il doit donc (rapidement) être le premier à perdre.
" C’est bien tu t’es mis à gauche comme je te l’ai enseigné. Tu es un gentil garçon et je suis fière de toi. Maintenant tu vas devoir apprendre à n’avoir plus aucune pudeur vis à vis de moi. Je veux que tu fasses un quart de tour, toujours sur la gauche et que tu présentes à ma vue ton cul et ta quéquette. "
Si l’installation de toilettes dans une salle de bain n’a pas que des avantages, il en a au moins un pour une Reine, qui peut prendre ses aises lorsqu’Elle utilise la langue de son chevalier pour s’essuyer.
Si on associe le blanc à la virginité, on a trop tendance à croire que virginité et douceur sont également liées (au moins chez une Femme).
C’est une erreur car une Femme peut très bien porter du blanc sans être une oie blanche et en sachant imposer son pouvoir et son autorité à un homme.
Rien ne vaut une petite démonstration pour finir de convaincre une amie que le slogan inscrit sur son T-shirt (les garçons font de bons animaux de compagnie) fait force de loi chez cette Reine.
Pendant que la Reine prépare son amant, le chevalier prépare sa Reine.
Quel que soit l’amour qu’Elle porte à son chevalier, le sourire d’une Reine est souvent plus franc quand elle ferme le cadenas de sa cage de chasteté que quand Elle l’ouvre.
Après avoir offert sa bouche à son amant, un regard et un geste pour faire comprendre à son chevalier qu’Elle souhaite qu’il vienne l’embrasser.
Quand une Reine n’a rien à cacher à ses amies intimes, il n’est pas rare, qu’à l’heure de l’apéritif, son chevalier fasse le service dans la même tenue que lorsqu’ils sont seuls ensemble.
