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Cachez ce sein

" Désolé mon amour. Je sais que je n’aurais sans doute pas dû porter cette robe à cette soirée d’hier mais après qu’il ait vu mon sein, son empressement à me séduire a fait que j’ai craqué. J’espère que personne ne s’est aperçu que je m’étais éclipsée avec un autre homme que toi. A propos de toi : comment s’est finie ta soirée ? "

Amour et humiliations

Une Femme dominante par nature ne peut généralement être amoureuse durablement que d’un homme qui accepte de se soumettre à son autorité.

Humilier et abaisser son chevalier, lui imposer la chasteté, le faire cocu, le dresser à être obéissant et à la vénérer n’est donc pas pour une Reine un manque de respect ou une marque de désamour à son égard mais au contraire un moyen de l’aider à progresser dans sa soumission, à en repousser les limites, à le libérer des ses inhibitions, à accepter de se livrer sans retenue et à comprendre que l’amour qu’Elle lui porte est intimement lié à sa capacité à comprendre que la satisfaction des besoins d’une Femme dominante est le pivot de ce qui fait la réussite de sa vie de couple.

Enfin lorsqu’Elle aura besoin de tendresse, Elle aura la certitude que les câlins reçus ou donnés ne seront pas vus comme une marque de faiblesse mais comme une part également nécessaire à son équilibre affectif et son besoin d’empathie.

Bref amour et humiliation sont pour une Reine deux termes dont l’association est non seulement parfaitement naturel mais aussi souvent nécessaire à l’équilibre de la relation qu’Elle entretient avec son chevalier

Mécanique des fluides

Bien qu’éjecté parfois de manière ascendante, le sperme d’un chevalier a moins de valeur que l’urine de sa Reine quand bien même Elle est projetée de manière descendante.

En effet le sperme d’un chevalier est peu (ou totalement) inutile aux yeux de sa Reine (surtout s’il est chaste et qui ne peut lui donner de plaisir en jouissant dans son ventre) alors que l’urine de cette dernière sert autant à humilier celui qui accepte de la recevoir qu’à le marquer physiquement au moyen de son odeurs et de ses phéromones.

A ce titre cette urine, comme tout ce qui provient de son intimité, est (aux yeux d’un homme soumis au moins) un des instruments participant à lui donner son pouvoir Féminin.

Obliger son soumis à se branler (voire à jouir parfois) alors qu’Elle lui pisse dessus est un moyen pour une Reine de lui faire comprendre que si son sperme est une conséquence de son plaisir c’est bien l’urine de sa Maîtresse qui en est la cause et que donc, dans le type de relation qu’ils ont engagée, l’urine de la Femme à plus de valeur que le sperme de l’homme.

Piqure de rappel

Le mariage s’il est une officialisation de la relation d’un couple, qui vit le plus souvent depuis longtemps sous le même toit, ne change pas les règles qui le régissent mais il peut être l’occasion pour une Reine de les clarifier au yeux de son chevalier :

  • Marié ou pas, il ne peut s’attendre à consommer ce mariage.
  • Il sera toujours fait cocu mais au moins puisqu’il devient époux cela devient officiel

Branlette humiliante

Branler son chevalier tout en se moquant de la taille de sa quéquette n’empêchera pas ce dernier de jouir. Au contraire même, cela risque de rendre cette jouissance plus rapide et plus forte.

Explications : En l’humiliant ainsi, sa Reine – puisqu’aucune Femme "ordinaire" n’oserait le faire – lui renvoie l’image de sa liberté de penser et de dire ce qu’Elle veut ainsi que l’assurance de sa supériorité Féminine sur un homme incapable d’affirmer une quelconque virilité, toutes choses qu’il attend finalement d’Elle et qui le rendent plus amoureux.

NB : Puisqu’il est reconnu que le pouvoir est aphrodisiaque, sentir que son chevalier accepte (voire demande) d’être ainsi rabaisser par Elle ne peut qu’être aussi excitant pour une Reine.