" Pourquoi te demander de venir renifler mon short ? Parce que c’est humiliant pour un homme de devoir renifler le cul d’une Dame, même sil est couvert par un vêtement, et que j’adore savoir que tu va m’obéir malgré l’humiliation, juste parce que je te l’ordonne. "
" Avec moi tu seras rien. Pas un amant mais mon cocu, pas un mâle mais un petit garçon, une petite fille, une pétasse obéissante qui me nettoiera la chatte avec sa langue, qui me léchera le cul et m’offrira le sien, l’objet de mes désirs, de mes fantasmes, de mes perversions… mais avec moi tu seras tout. Celui que j’éduquerai patiemment, que je protégerai des autres et l’homme que j’aimerai le plus au monde. Maintenant embrasse ma botte en me disant que c’est très précisément ça que tu veux être. "
" Puisque j’ai offert mon vagin à sa jouissance hier il me semble équitable d’offrir ma main à la tienne aujourd’hui. "
" Bien sûr que nous allons consommer notre mariage. Avec ta langue. Pour le reste tu devras donner procuration à un de mes amants. "
" A ton avis, laquelle de nous deux va lever un mec la première ce soir ? Si tu avais raison c’est la deuxième qui, en gage, te branlera demain, si tu avais tord tu devras te contenter de ta main. "
Un regard emprunt du plaisir que lui procure son amant et de l’amour qu’Elle porte à son chevalier.
" Je me sens d’humeur câline aujourd’hui. Je vais te retirer ta cage et caresser ta petite nouille pour lui donner une vigueur certes ridicule mais néanmoins flatteuse. Cependant ne rêve pas, nous ne sommes pas dimanche, donc pas d’orgasme. Mais je veux que tu apprennes à apprécier et te contenter de moments faits uniquement de douceur sans te projeter dans le futur et la frustration que tu ressentiras quand je la rangerai dans son petit appartement. "
Ramper devant une Amie de sa Reine pour faire acte d’allégeance à sa Personne.
" Puisque ta bite est trop petite pour honorer ma chatte, tu n’auras d’autres tâches la concernant que de la vénérer avec tes lèvres et de la nettoyer avec ta langue et ce à chaque fois que j’en aurai envie. Puisque tu es dans une position idoine, je t’autorise à commencer en embrassant ma culotte et en me remerciant de t’accorder cet honneur de me servir ainsi."
" Tu te souviens de l’époque où tu étais petit garçon et qu’il y avait à la télé le film du dimanche soir et la séquence du spectateur. Les choses ont à peine changé puisque tu as toujours un zizi de petit garçon et que maintenant c’est la séquence de la spectatrice pour ta branlette du dimanche soir. "
