" J’espère pour toi que tu sauras être un gentil garçon très obéissant parce que sinon je suis sure que ça va faire rigoler les filles du basket de savoir que le capitaine du rugby à une toute petite bite de cocu. "
" En la léchant, je veux que tu penses à toutes les queues qui se sont glissées dans ma fente, alors que la tienne reste enfermée dans sa cage de petit cocu incapable de me satisfaire autrement qu’avec sa langue. "
" Je trouve ton arrogance bien présomptueuse, de la part d’un homme qui pourrait se retrouver à genoux à embrasser mes bottes sur un simple claquement de doigt de ma part ou recevoir une fessée pour lui remettre les idées en place. A moins que ce ne soit ça que tu recherches ? "
" Tu es bien plus respectueux et obéissant depuis que tu portes ta cage de chasteté. Finalement ça a été assez simple de rendre les choses telles que j’avais toujours voulu qu’elles soient. "
" Tu comprends pourquoi tu ne peux pas lutter avec ton petit ver enfermé dans sa cage mais, rassure-toi, tu vas pouvoir participer à mon plaisir en m’offrant ta langue pendant qu’il me pénètrera. "
" Non mon chéri. Il n’y a rien dans ce que j’ai prévu de faire cette semaine qui aurait justifié que je prenne la clé de ta cage mais, rassure-toi, ça ne t’empêchera pas d’avoir néanmoins une sexualité très riche et de me donner beaucoup de plaisir à de nombreux moments de la journée. "
" Vous comprenez maintenant pourquoi c’est moi la Cheffe ici. Entre mon caractère et son zizi incapable de satisfaire mon appétit c’était écrit. Comme sa chasteté et son cocufiage d’ailleurs. "
" Il va arriver dans quelques minutes. Maintenant que tu as vu comment était la chambre, pour mieux nous imaginer, tu peux descendre patienter dans le salon de l’hôtel. Je t’enverrai un message quand il sera parti et que tu pourras remonter. "