" Je ne sais pas si c’est l’effet du punch mais tout d’un coup j’ai envie de me faire baiser par une belle queue. Comme ta quéquette est d’entrée disqualifiée, attends-toi à rentrer seul et à passer ta soirée en m’imaginant dans le lit d’un autre homme. "
" Non je ne changerai pas d’avis et j’ai horreur des petits garçons capricieux et égoïstes. Quand nous avons évoqué la cage de chasteté tu avais convenu qu’une branlette par semaine serait suffisante et que la faire le dimanche soir te permettrait d’être au pic de ta libido en fin de semaine, lorsque nous passons le plus de temps ensemble. Nous ne sommes que jeudi et monsieur a déjà du mal à gérer sa frustration ? Je te rappelle accessoirement que c’est le but ; que ton excitation soit au profit exclusif de mes besoins. Je te conseille donc d’être patient, le temps que ton corps s’adapte à ce nouveau rythme, sinon je pourrais bien sortir ma cravache pour calmer les ardeurs de ta petite nouille afin de nous éviter à nouveau ce genre de conversation. Maintenant, revenons aux fondamentaux, j’ai sommeil et j’ai besoin de ta langue avant d’aller dormir. "
" C’est très agréable pour moi de savoir que dorénavant ce sont moins la forme ou la matière de ma culotte qui t’excitent que les odeurs dont elle est imbibée en fin de journée. "
" Tu es si naïf. Quand tu as accepté d’être ma poupée, tu croyais vraiment que je voulais un Ken plutôt qu’une Barbie ? "
" Je comprends pourquoi ton ex t’appelait mon bébé. Tu es trop mignon mais si tu voulais que nous restions ensemble tu devras faire des concessions à Maman, beaucoup de concessions. Qu’en penses-tu mon bébé ? "
" Si j’aime te fesser ce n’est pas juste pour le plaisir de t’humilier mais parce que, puisque tu n’as rien d’un homme, j’aimerais que tu te sentes de plus en plus petit garçon, obéissant, malléable, incapable de résister à mes demandes dégradantes pour toi, qui te rendront si attendrissant qu’après j’aurai envie de te materner pour mieux te relever. "
" J’ai invité mon Amie pour l’initier à l’art du lavement et c’est toi qui va servir de cobaye. Ici, dans la cave, pour t’éviter d’aller aux toilettes et te permettre de faire dans un seau afin qu’Elle puisse suivre tout le processus de A à Z, trois fois bien sûr comme il se doit pour qu’il soit parfait. Au lieu de faire cette tête essaye d’être le plus coopératif possible et qui sait peut-être que, quand tu auras le cul bien propre et que tu ne risqueras plus de souiller nos gants, Elle sera partante pour apprendre celui du massage de la prostate. "
" Encore une différence qui nous sépare. Tu acceptes de mourir de honte quand je te fais lécher mon trou du cul alors que je préfèrerais mourir tout court plutôt que d’accepter une telle humiliation. "
" Désolé mon chéri mais me respecter c’est aussi comprendre que je ne puisse pas embrasser une bouche dont la langue sert de gant de toilette à mon intimité. "
" A ton avis, combien de gens pourraient penser que sous une jupe aussi sage je n’ai pas de culotte alors que sous ton pantalon c’est toi qui la porte ? "
