" En premier lieu tu vas embrasser l’ourlet de ma jupe en me demandant de t’accorder l’honneur de me débarrasser de mon manteau."
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Locktober
" As-tu déjà entendu parler du locktober ? C’est la contraction de deux mots anglais, lock et october et ça veut dire enfermer à clé en octobre. C’est un concept récent venu d’outre-atlantique destiné à des couples comme le notre où c’est la Femme qui détient la clé du cadenas de la cage de chasteté que porte son partenaire. Le principe est le même que celui du Carême, mais à date fixe et pour une période d’un mois, où un homme doit faire preuve d’abstinence pour honorer son Dieu même si en l’occurrence il s’agit là d’une Déesse. Tu connais mon goût pour la nouveauté et la satisfaction que j’éprouve à me sentir Déesse à tes yeux et j’ai donc décidé que ce locktober s’appliquera aussi à nous. Je t’encourage donc à bien profiter de ta branlette de ce soir parce que ce sera la dernière avant novembre. "
Maman de substitution
" On dit que les hommes cherchent souvent l’image de leur mère chez une Femme et que certaines Femmes voient les hommes comme des petits garçon. C’est mon cas. Même si je reconnais qu’ils ne sont pas vraiment responsable et que leur éducation patriarcal leur a appris à être des rois sans leur en donner la maturité et les qualités. Tu n’es pas le pire et je sais qu’au fond de toi tu as compris que ce sont les Femmes qui devraient être Reine mais la taille de ton pénis évoque aussi pour moi celle d’un petit garçon prépubère donc encore incapable de faire l’amour. Et quoi de mieux pour un petit garçon soucieux de rendre hommage à l’autorité Féminine qu’une Mère de substitution qui reprendra son éducation en main pour lui enseigner les vertus du Matriarcat ? Plutôt que Madame, Ma Reine ou Maitresse, je veux donc que tu m’appelles désormais Maman. Je serai bien sur une Maman un peu particulière puisque je t’appendrai non seulement tout ce qu’un petit garçon devrait connaitre pour, une fois adulte, satisfaire une Dame mais également des choses qui, si elles sont fondamentales, ne font normalement pas partie de ce qu’une Mère enseigne à son fils, dans une relation à la forme incestueuse mais qui ne le sera pas, d’abord parce qu’elle sera exempte de pénétration de ta part et ensuite parce que nous ne sommes pas réellement consanguins. Je mettrai toujours des tenues strictes qui te rappelleront mon Autorité pour t’encourager à m’obéir mais sexys et élégantes pour t’aider, plutôt que de le combattre comme ferait une vraie Maman, à créer le désir œdipien que je veux susciter chez toi. Je le renforcerai en t’aidant à développer une forme de fétichisme de tout ce qui m’appartient pour que tu deviennes totalement dépendant de la vénération que tu me porteras, qui ne sera plus sublimée mais réelle, et qui me rendra unique et irremplaçable à tes yeux. Pour finir, si je n’hésiterai pas à te punir si tu étais un vilain garçon, je prendrai bien plus de plaisir à être obéie et à te récompenser par mon sourire, ma tendresse, mes câlins, mon sein et, parfois, la caresse de ma main sur ton zizi d’enfant. "
Chevaleresque en public
" Tu devrais être heureux. En te faisant porter ma veste et mon sac, nous seulement je te prouve que je te fais confiance mais je te donne l’occasion d’accomplir un acte chevaleresque en public. Et qu’importe que les gens puissent penser que tu m’es soumis puisqu’après tout c’est la réalité. Non ? "
Passer le temps
Consolation frustrante
Membre d’honneur
" Et oui mon chéri, tu ne fais plus seulement partie du club des petites bites car j’ai l’honneur de t’annoncer que, depuis tout à l’heure, tu fais aussi officiellement partie de la confrérie des cocus. Mieux, comme j’ai pris beaucoup de plaisir et que je n’ai aucun remord, tu risques d’en devenir rapidement un des membres d’honneur. "
Ne pas attendre
Double hommage
" Toi qui te dit Féministe, pense à toutes ces Femmes qui, au cours des siècles, n’ont eu d’autre choix que d’accepter d’être bafouées par un mari infidèle. Sois heureux, en te faisant cocu je t’offre la double opportunité de rendre hommage non seulement à la Femme libre que je suis aujourd’hui mais également à toutes les Femmes des générations passées, en partageant avec Elles le même sentiment d’humiliation qu’Elles ont du éprouver. "