" Tu devrais être heureux. En te faisant porter ma veste et mon sac, nous seulement je te prouve que je te fais confiance mais je te donne l’occasion d’accomplir un acte chevaleresque en public. Et qu’importe que les gens puissent penser que tu m’es soumis puisqu’après tout c’est la réalité. Non ? "
" Tu imagines ta petite queue toute frétillante dans sa cage de chasteté quand je te ferai entretenir mes cuirs, pour passer le temps, pendant que je serai en train de te faire cocu avec un amant ? "
Tout prêt du puits d’amour où il ne plongera jamais, la consolation frustrante de goûter à la douceur du cuir de sa jupe et du nylon de ses bas.
" Et oui mon chéri, tu ne fais plus seulement partie du club des petites bites car j’ai l’honneur de t’annoncer que, depuis tout à l’heure, tu fais aussi officiellement partie de la confrérie des cocus. Mieux, comme j’ai pris beaucoup de plaisir et que je n’ai aucun remord, tu risques d’en devenir rapidement un des membres d’honneur. "
" Je suis impatiente ; et alors ? Ce n’est pas ton problème ! Ton problème c’est de ne pas me faire attendre quand je te demande quelque chose. "
" Toi qui te dit Féministe, pense à toutes ces Femmes qui, au cours des siècles, n’ont eu d’autre choix que d’accepter d’être bafouées par un mari infidèle. Sois heureux, en te faisant cocu je t’offre la double opportunité de rendre hommage non seulement à la Femme libre que je suis aujourd’hui mais également à toutes les Femmes des générations passées, en partageant avec Elles le même sentiment d’humiliation qu’Elles ont du éprouver. "
Le sourire plus taquin que compatissant de Celle que sa Reine lui présente comme étant une Amie qu’Elle a invitée à passer le WE avec eux pour observer, avec intérêt, leur mode de fonctionnement.
" Ce n’est pas la tenue qui fait la Dominante mais puisque tu sais que je le suis et que je sais qu’une Femme portant du cuir est plus impressionnante à tes yeux, je t’ai fait ce petit plaisir le jour de ta branlette. Ce sera pour toi, en le faisant, l’occasion non seulement d’admirer ma Supériorité mais également de te rappeler que tes orgasmes, fussent-ils humiliants, dépendent uniquement de ma volonté et qu’en acceptant de t’abaisser à t’exhiber ainsi devant moi, tu acceptes pleinement ton infériorité de mâle. "
" Encore une différence qui nous sépare. Tu acceptes de mourir de honte quand je te fais lécher mon trou du cul alors que je préfèrerais mourir tout court plutôt que d’accepter une telle humiliation. "
" Désolé mon chéri mais me respecter c’est aussi comprendre que je ne puisse pas embrasser une bouche dont la langue sert de gant de toilette à mon intimité. "
