Archives pour la catégorie Cocufiage

Physiquement et psychologiquement difficile

" J’imagine que c’est physiquement et psychologiquement difficile pour toi de devoir pour la première fois lécher le sperme d’un autre homme mais tu as accepté d’être mon gant de toilette et j’ai besoin que tu me prouves ton amour. "

Cadre propice

" Il faut du temps pour se construire, surtout quand on a été trahie, et créer un cadre propice à la confiance. Ainsi je n’ai rien d’une revancharde et je sais être la plus douce et la plus adorable des Femmes avec un homme, pour peu qu’il ne conteste ni les vertus ni la nécessité d’une relation matriarcale donc ni ma liberté, ni mes décisions. "

Abolition des privilèges

" Dans la dynamique d’une relation Reine chevalier, il n’est pas rare qu’une Reine fasse progressivement son chevalier cocu et qu’inversement elle lui accorde de moins en moins souvent le privilège de lui faire l’amour. Dans notre cas, puisqu’il est entendu que je continuerai à avoir des amants, et que tu seras donc cocu dès le début, plutôt que de réduire ce privilège au fil du temps, autant ne pas te l’accorder dès à présent. Au lieu d’avoir la frustration de ne plus pouvoir me faire l’amour tu auras celle de ne l’avoir jamais fait et ce sera bien plus valorisant pour moi de me savoir aimée par un homme qui accepte de ne jamais vouloir me posséder alors que je me donnerai à d’autres. "

Photo pour amant

" Tu connais les hommes. Ils se sentent toujours supérieurs quand ils baisent la Femme d’un autre et rassurés quand ils savent qu’il est au courant. Je lui ai promis de lui envoyer une photo de moi avant notre rencontre et je pense qu’il sera ravi de savoir que c’est toi qui l’aura prise pour lui. "

Garçonnière

" J’aime bien ta nouvelle maison. Surtout le fait qu’elle se trouve à quelques kilomètres de la mienne afin que nous puissions nous voir tous les jours et que notre relation change de dimension. Finis les fantasmes liés à ton blog. Place à la réalité d’une relation où je deviens ta Reine. Maintenant, puisque tu reconnais que j’ai besoin d’une forme de liberté sexuelle et que je ne peux pas recevoir mes amants et amantes chez moi à cause de la présence de mes filles, plutôt que d’être condamnée aux hôtels et puisque je n’ai rien à te cacher, je me demandais si tu n’accepterais pas que je les rencontre chez toi. Pas dans la chambre qui m’est dédiée, bien sûr, puisque je ne veux la partager qu’avec toi mais dans la tienne puisque tu as accepté de me partager avec d’autres. Tu crois que tu supporterais qu’ils me baisent dans ton lit alors que tu ne le feras jamais ? Que tu pourrais t’endormir en paix dans des draps où je t’aurais fait cocu sans pouvoir te libérer de ta frustration à cause de ta cage de chasteté ? J’imagine que ce serait difficile mais quelle plus grande preuve d’amour pourrais-tu me donner ? Et comment ne pas t’aimer d’avantage si, mieux que de les accepter, tu devenais sans réserve le complice de mes besoins de libertine ? "