" S’il est devenu légitime aux yeux de la loi, sur le fond rien ne change concernant les règles que j’ai édictées et que tu as acceptées pour la bonne marche de notre couple. Sur la forme au lieu d’être juste un homme cocu tu deviendras officiellement un mari cocu. "
" Ne t’y trompe pas, pour peu qu’Elle aime, la sodomie n’est pas un acte de soumission pour une Femme. En revanche venir lécher mon cul après qu’il y aura déposé son offrande donnera un sacré coup de fouet à la tienne. "
" Quand Elle devient Reine, la vie d’une Femme change moins que celle de son chevalier et ce n’est pas à Elle mais à lui de faire des concessions. Ainsi, celui qui sera mon élu devra admettre que je continue à porter ma chaîne de cheville, quels que soient les conséquences sur son ego. "
" La langue de mon mari après la queue de mon amant, j’aurais mauvaise grâce à me plaindre. "
" Trinquons à la journée des célibataires puisque, même si nous sommes en couple, nous en avons la vie, moi en ayant des amants et toi une sexualité de puceau. "
" Est-ce qu’il avait un préservatif ? Plutôt que d’utiliser ma langue pour te le dire, pourquoi ne te servirais-tu pas de la tienne pour le savoir ? "
Devoir regarder une play-list de vidéos imposée par sa Reine, pour lui rappeler ce qu’Elle est en train de faire en son absence, peut rendre en période de confinement prolongé (de sa quéquette) son cocufiage douloureux non seulement psychologiquement mais également physiquement.
" Sois honnête et reconnais que, quand tu penses à Halloween, tu imagines avant tout la fin d’un long mois d’abstinence et la possibilité de reprendre le rythme de tes branlettes dominicales. La bonne nouvelle pour toi c’est que le 1er novembre tombe un dimanche, la mauvaise c’est que moi je ne suis pas abstinente et qu’un homme charmant m’a invitée à passer cette soirée avec lui. "
" Au lieu de te focaliser sur le fait que tu ne te branleras pas aujourd’hui, essaye de profiter de ce beau dimanche automnal et du fait que j’ai abandonné mon amant ce matin pour le passer avec toi. "
" Embrasse mes pieds en me disant combien tu approuves que je fréquente des hommes qui savent m’offrir des plaisirs que tu n’es ni digne ni capable de me donner. "
