" Pouvoir gérer seule mes besoins d’amants, mes besoins de ta langue ou de tes besoins de branlette donne du sens à l’autorité que j’exerce sur toi et savoir que tu respectes mes choix comme un gentil garçon obéissant me fait penser que j’aurais tord de me priver. Maintenant lèche-moi ! "
En vacances, faire des photos de sa Reine, le jour, lorsqu’Elle est en excursion ou sur la plage et, le soir, lorsqu’Elle invite un ami autochtone dans leur chambre
Le soir gâter ses amants et dans la journée gâter son soumis.
" Toi qui est mieux placé que moi à tous les points de vue, trouves-tu que mon pantalon me fait un assez joli cul pour lui donner envie d’y mettre la main ? "
" Dès que je l’ai vue je me suis dit qu’elle serait idéale pour toi, avec sa coupe et sa matière pour souligner ton absence de virilité mais aussi sa couleur pour rappeler que tu es cocu. "
" Moi je vais le sucer et toi tu vas regarder en méditant sur le plaisir qu’il aura et qui t’est interdit. "
" Si tu ne voulais pas être cocu tu aurais dû penser à ne pas avoir une aussi petite bite. "
Comme s’il en doutait, d’une simple regard, faire comprendre à son chevalier qu’Elle a trouvé ce qu’Elle était venue chercher.
" Bien sûr que mes collègues de travail savent que tu es cocu mais je ne vois pas en quoi ça aurait dû empêcher que tu les rencontres. "
Acte manqué ou geste délibéré ? En tout état de cause, son chevalier voit son majeur, tatoué du symbole du féminin, pointer comme un doigt d’honneur alors qu’il sait, qu’à la différence d’autres hommes, jamais il ne pourra sentir ses lèvres autrement qu’à travers les barreaux de sa cage de chasteté.
