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Difficile à accepter

Même si ce n’est a priori pas une activité dégradante, le fait lorsqu’on est chevalier de devoir guider le sexe d’un autre homme dans l’intimité de sa Reine est particulièrement difficile à accepter.

En effet, si par amour pour Elle, il a toutes les raisons d’accepter d’être cocu, l’aide ainsi apportée le rend non seulement complice mais également responsable de sa propre cocufication.

La frustration, la jalousie et l’humiliation ressenties seront d’autant plus grandes s’il est chaste, donc interdit de pénétration, et qu’il ne pourra jamais profiter du plaisir qu’il "offre" ainsi à un autre.

Sans intermédiaire

Il arrive parfois qu’une Reine confie à son chevalier une culotte tachée de sperme afin qu’il la nettoie. Dans sa grande bonté – mais aussi pour accroitre sa frustration – Elle pourra également de temps en temps autoriser ce dernier à – lui aussi – en salir une avec sa propre semence au cours d’une de ses branlettes. 

Bien sûr la tâche sera moins concentrée et sans doute pas vraiment placée au même endroit, puisque le liquide issu du jet ira directement du zizi à la culotte, sans passer par le vagin de sa bien aimée.

 

Objet de controverse

Même si une Reine n’a par définition pas besoin de se justifier, Elle peut souhaiter démontrer par a+b à ses amies – afin qu’il n’y ait plus de controverse à ce sujet – que si Elle fait son chevalier cocu, c’est bien parce qu’il a un zizi inadapté et qu’il serait bien incapable de l’en satisfaire.

Un grand moment de solitude pour le chevalier mais un grand moment de plaisir (d’excitation ?) pour sa Reine qui peut ainsi exprimer sa dominance en présence de tiers.

Le plaisir de la découverte

Puisqu’un des plus grands plaisirs de la vie tient dans la découverte de nouveaux objets et de nouvelles sensations et, puisqu’une Femme est génétiquement programmée pour avoir plusieurs partenaires, pourquoi ne pas faire fi de la morale et du politiquement correct pour devenir une Reine qui assume ses envies et ses besoins.