" Bien sûr que tu devras entretenir mes cuirs mais seulement lorsque nous aurons reçu ta cage de chasteté. Je veux contrôler tes pulsions et renforcer ton féchisme en le nourrissant de la frustration de ne pouvoir les libérer sans mon autorisation. "
" Avais-tu pensé que tu pourrais être amoureux d’une libertine qui te ferait cocu et qui ne t’offrirait que sa main pour satisfaire ta sexualité ? "
" Je sais que si je t’excite je l’exciterai aussi. Les seules différences entre vous tiennent aux faits qu’il pourra libérer son excitation dans mon ventre au gré de ses envies et que toi tu devras utiliser ta main uniquement à mon retour de WE quand je t’aurai retiré ta cage. "
Après quelques verres, quand les réactions se font plus spontanées, l’amusement non feint de Celles devant qui sa Reine lui a demandé d’exhiber son petit zizi encagé.
" A chaque fois que j’utilise mon bâton de rouge à lèvres je pense à ta quéquette. Non pas parce qu’elle ne connaitra jamais la douceur de ces dernières mais parce qu’il en à la forme et la taille. "
" Tout est affaire de psychologie. Oublie que c’est ma main qui te branle et imagine plutôt que c’est ma bouche qui te suce comme elle suce mes amants. Imagine le plaisir que je leur donne et approprie-le toi comme si c’était eux les cocus et pas toi. "
Méditer en regardant les préservatifs que lui a demandé de préparer sa Reine avant de partir à une soirée où il n’est pas convié.
" Où serait l’intérêt pour moi de ne pas faire l’amour avec toi si je n’avais pas d’amants et si tu pouvais te libérer de ta frustration en te branlant en cachette ? "
" J’ai beau chercher, je ne vois aucune trace de virilité dans cette pièce. "
Après avoir utilisé son chevalier, comme modèle, pour expliquer à une Amie comment poser une cage de chasteté, lui expliquer, toujours en la présence silencieuse de ce dernier, tous les avantages qu’une Femme moderne peut retirer d’un tel objet.
