" Maintenant donne-moi mon sac et embrasse mes bottes en me disant combien tu es heureux de savoir que je vais passer la soirée avec un homme qui, lui, saura me donner du plaisir avec sa queue parce que la tienne serait bien incapable de me satisfaire même si elle n’était pas dans sa cage de chasteté. "
" Mon pauvre chéri, alors que je suis d’humeur badine, pense à tout ce que je pourrais te faire avec ma bouche si tu n’avais pas une cage de chasteté. Malheureusement tu en portes une et c’est encore toi qui va te servir de ta langue pour me libérer de mes tensions. "
" Maintenant regarde-moi bien dans les yeux et branle-toi comme un vilain petit garçon qui fantasme sur une Dame qu’il ne possédera jamais. "
" Je crois que je ne me lasserai jamais de glisser ma main dans ta culotte pour y toucher ta cage de chasteté et sentir l’objet du pouvoir que tu m’as conféré en acceptant de la porter plutôt que de reprendre ta liberté. Crois-moi, cette preuve d’amour que tu m’as offerte sera récompensée. Le contrôle que j’exerce maintenant sur toi te conduira à devenir encore plus obéissant, plus respectueux, plus admiratif et, en gérant au mieux ta frustration, je t’apprendrai à la compenser par la vénération de ma personne. "
" Je sais bien que je t’accorde les jours fériés, en plus des dimanches, pour te branler mais ce serait blasphématoire à mes yeux de jouir de manière aussi lamentable le jour où on honore Celle qui est aux yeux de beaucoup la plus exceptionnelle des Femmes. En revanche, et pour compenser, je pense que tu seras heureux d’honorer et donner de beaux orgasmes, avec ta langue, à Celle qui est la plus Divine à tes yeux, c’est à dire à Moi, sans que cela constitue le moins du monde un péché aux yeux de qui que ce soit. "
Accepter de ne pas se servir du corps de sa Reine pour jouir et se faire un devoir de la faire jouir après qu’un autre homme ait profité de son corps pour y déposer sa semence.
" Maintenant que ta petite nouille est dans une cage de chasteté dont je détiens la clé, on peut raisonnablement dire qu’elle m’appartient, un peu comme une enclave territoriale posée au milieu de ton corps. Tu en gardes la nue propriété, un droit de passage pour tes fonctions urinaires mais tu n’en as plus la jouissance. Cette cage deviendra pour toi mon porte drapeau, une extension de ma volonté, même en mon absence, la preuve physique de ton acceptation de mon contrôle qui rendront tes orgasmes bien plus forts puisque tu ne les considéreras plus comme un dû mais comme un cadeau que je te ferai. "
" Je jouis quand j’en ai envie, tu jouis quand j’en ai envie. Je ne vois pas où est l’iniquité "
" Avec une aussi minuscule chose entre les jambes j’espère que la langue est performante. Pour le reste tu devras revoir tes ambitions à la baisse. "
" Réfléchi, c’est parce que j’ai des amants que ta langue me suffit, sinon nous ne serions pas ensemble. "
