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Examen mensuel

" Je ne suis pas infirmière pour rien. Une fois par mois, un jour de branlette hebdomadaire, je mesurerai la taille de ton zizi au repos et en érection et je te ferai jouir moi-même dans une capote pour peser, avec une balance de précision, la quantité exacte de sperme que tu produiras. Je pourrai ainsi contrôler les effets sur ton anatomie du port d’une cage de chasteté afin d’adapter en conséquence sa posologie et choisir le modèle qui me semblera le plus adéquat s’il fallait en changer. "

Heureux de savoir

" Maintenant donne-moi mon sac et embrasse mes bottes en me disant combien tu es heureux de savoir que je vais passer la soirée avec un homme qui, lui, saura me donner du plaisir avec sa queue parce que la tienne serait bien incapable de me satisfaire même si elle n’était pas dans sa cage de chasteté. "

Faire ou ne pas faire

" Mon pauvre chéri, alors que je suis d’humeur badine, pense à tout ce que je pourrais te faire avec ma bouche si tu n’avais pas une cage de chasteté. Malheureusement tu en portes une et c’est encore toi qui va te servir de ta langue pour me libérer de mes tensions. "

Toucher sa cage chasteté

" Je crois que je ne me lasserai jamais de glisser ma main dans ta culotte pour y toucher ta cage de chasteté et sentir l’objet du pouvoir que tu m’as conféré en acceptant de la porter plutôt que de reprendre ta liberté. Crois-moi, cette preuve d’amour que tu m’as offerte sera récompensée. Le contrôle que j’exerce maintenant sur toi te conduira à devenir encore plus obéissant, plus respectueux, plus admiratif et, en gérant au mieux ta frustration, je t’apprendrai à la compenser par la vénération de ma personne. "

Blasphématoire

" Je sais bien que je t’accorde les jours fériés, en plus des dimanches, pour te branler mais ce serait blasphématoire à mes yeux de jouir de manière aussi lamentable le jour où on honore Celle qui est aux yeux de beaucoup la plus exceptionnelle des Femmes. En revanche, et pour compenser, je pense que tu seras heureux d’honorer et donner de beaux orgasmes, avec ta langue, à Celle qui est la plus Divine à tes yeux, c’est à dire à Moi, sans que cela constitue le moins du monde un péché aux yeux de qui que ce soit. "