" Tu as vu mon chéri, J’ai accroché la clef de ta cage à la chaîne que tu m’as offerte hier. Après tout, puisque nous sommes un couple, il est normal que nous restions associés en toutes circonstances mais aussi qu’on sache que, si je me réserve le droit de te faire cocu, la réciproque n’est pas vraie. "
" Ne sois pas déçu que ce ne soit pas la bonne clef. De toute façon je n’avais pas l’intention de la libérer mais juste de te rappeler que j’étais la Seule à avoir le pouvoir le faire. Charge à toi d’être un gentil garçon pour m’inciter à en user, quand bien même ce serait avec parcimonie. "
Malgré la frustration et l’humiliation, tenter de paraître équanime lorsque sa Reine le fait cocu en sa présence.
Si une Reine peut, à l’approche de Noël, déléguer la décoration du sapin à son chevalier, c’est toujours elle qui s’occupe de celle de sa pine.
Le porte clé idéal pour retrouver rapidement au fond de son sac (ou ailleurs) celle de la cage de chasteté de son chevalier.
" Tu sens son sperme encore chaud glisser entre les barres de ta cage de chasteté ? Quand la gravité aura fait son effet tu me lécheras pour m’ôter toute trace de mon infidélité puisque, je te l’aurais transmise et qu’une fois sèche, elle sera la marque de ton cocufiage jusqu’à je te t’autorise à la nettoyer. "
Plus efficace qu’un contrôle parental, facilement contournable à son age, un contrôle Matriarcal en aval qui évite toute tentation qui pourrait entraîner une baisse de libido au dépens de sa Reine.
" J’ai remarqué que, quand tu te branlais, ta langue était moins performante les jours suivants. Tu comprendras donc qu’entre mon empathie et la défense de mes intérêts ça créé un vrai dilemme pour moi. "
" Je sais que c’est un bien grand mètre pour mesurer une si petite bite mais il est important que j’ai les cotes exactes avant de commander ta cage de chasteté. "
" J’imagine que mes rires doivent être humiliants pour toi et t’empêcher de te concentrer mais, si tu voyais combien tu peux être pathétique à te secouer le sguègue comme un petit puceau qui sait qu’aucune Femme ne pourrait être intéressée par cette petite chose, tu me comprendrais. "
