" Je reconnais qu’avoir une sexualité de puceau quand on est un homme qui vit en couple peut paraître bizarre mais admet que quand on a un zizi de la taille d’un pré adolescent ça a du sens non ? Maintenant si ça te gêne de devoir te branler devant la Femme que tu prétends aimer, on oublie cette idée et je te remets ta cage de chasteté tout de suite. "
" Puisque seule ta langue peut m’être utile, pourquoi aurais-je besoin de te retirer ta cage de chasteté ? "
" Je ne suis pas autocrate et tu as la possibilité de refuser de porter cette cage. Il te suffirait d’utiliser ton 49-3 à toi en me démettant de ma fonction de Reine. Dans le cas contraire je considérerais ton acceptation comme acquise. "
Sur les jambes de ce chevalier les godes préférés de sa Reine, qu’Elle utilise en fonction de son humeur .Entre ses jambes une petite chose qui ne présente aucun intérêt pour Elle.
" Nous non plus on n’a rien dans la culotte, même et surtout pas de cage de chasteté ! "
C’est comme le Port-Salut, c’est écrit dessus !
Des bijoux fièrement portés, afin que personne ne doute que c’est Elle qui détient le pouvoir dans leur couple.
" Mauvaise réponse ! La question n’était pas de savoir si je devais ou non la porter mais si elle était la bonne hauteur. Seconde chance mais si je ne peux pas te faire confiance pour m’aider, fais-moi confiance pour ne pas l’utiliser avant un bon moment. "
" Jamais je ne contesterai le fait que tu aies envie de te branler, c’est normal pour un homme, surtout quand sait qu’il n’a pas d’autre choix pour se satisfaire. Maintenant, si tu voulais que nous vivions ensemble, en contrepartie, tu devras accepter de porter une cage de chasteté et que je sois la seule à déterminer quand tu en auras vraiment besoin. "
" Je me souviens très bien que c’était la chose qui te faisait le plus bander : les odeurs de ma chatte, après une journée de travail, mélangées à celle du cuir. J’imagine ta frustration maintenant que tu portes une cage de chasteté. Mais comme cette frustration rend ta langue encore plus performante, il y a peu de chance que je me lasse de te les offrir. "
