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Cité interdite

Certaines Femmes ont la vulve ainsi faite que lorsqu’Elles écartent les jambes on peut voir l’intérieur de leur vagin.

Dans ce cas, cette vision – sa Reine le sait bien – renforce la frustration d’un chevalier chaste et cocu, puisqu’il voit l’intérieur de cette cité qui lui est interdite alors qu’il sait que d’autres hommes peuvent y être invités.

Nudité forcée

A condition que la température ambiante si prête bien sûr, la nudité imposée par une Reine à son chevalier – même dans des moments très ordinaires de leur vie de couple – conduira ce dernier à  trouver naturel de n’avoir plus d’intimité donc à renforcer son humilité et la perception qu’il a de la supériorité de sa Reine.

Plaisir solitaire partagé

"J’adore te voir ainsi mon amour. Et toi ? Tu aimes te branler devant moi en imaginant que tu pourrais me faire l’amour ou en pensant à tous mes amants qui goûtent la chaleur de mon ventre alors que tu ne le feras jamais ?

Je sais que tu as honte d’avoir une petite quéquette et de n’avoir accès au plaisir que lorsque je t’autorise à la tripoter devant moi.

Je sais que tu as honte d’être cocu et de ne pouvoir jouir dans ma chatte comme d’autres le font mais quand on a un zizi de petit garçon on a des plaisirs de petit garçon.

Je sais que tu as honte de t’exhiber ainsi devant moi mais je suis ta Maîtresse et à ce titre je dois aussi veiller à ton hygiène sexuelle et vérifier que tu vides bien tes petites couilles quand je le désire et comme je le désire.

Et puisque ton sperme est inutile à mon propre plaisir, je veux qu’il serve aujourd’hui à nourrir le cuir de mes bottes.

Vas-y mon chéri. Maintenant tu peux me demander la permission de te vider. N’oublie pas de bien viser et de me remercier après de t’avoir accorder l’autorisation de l’avoir fait"

Attentions

Il n’est pas rare qu’une Reine qui fait son chevalier cocu lui interdise ce qu’Elle accepte de ses amants à savoir le droit de la pénétrer.

Ce n’est pas une raison pour Elle d’oublier les besoins de ce dernier et de ne pas stimuler parfois son zizi par des caresses affectueuses.

Au contraire même, puisqu’en l’absence de pénétrations (et de fellations) elles se situent – juste après la branlette – à l’avant dernière étape sur l’échelle du plaisir qu’il peut recevoir de la part de sa Reine et qu’à ce titre, que ce soit physiquement ou émotionnellement, elles ont beaucoup plus de valeurs que lorsqu’elles sont pratiquées dans le cadre d’une relation traditionnelle.

Difficile à accepter

Même si ce n’est a priori pas une activité dégradante, le fait lorsqu’on est chevalier de devoir guider le sexe d’un autre homme dans l’intimité de sa Reine est particulièrement difficile à accepter.

En effet, si par amour pour Elle, il a toutes les raisons d’accepter d’être cocu, l’aide ainsi apportée le rend non seulement complice mais également responsable de sa propre cocufication.

La frustration, la jalousie et l’humiliation ressenties seront d’autant plus grandes s’il est chaste, donc interdit de pénétration, et qu’il ne pourra jamais profiter du plaisir qu’il "offre" ainsi à un autre.

Faute de mieux

"Mon amour, puisque tu serais bien incapable de me satisfaire avec la petite quéquette qui te sert d’attribut sexuel, et puisque aucun de mes amants n’est disponible ce soir, je te propose d’essayer de me donner du plaisir avec ce god. Bien sûr ce ne sera pas pareil mais au moins auras tu l’occasion de me remplir le ventre, même par procuration."