En cette période de grands froids, regarder les photos des dernières vacances d’été réchauffe le cœur et permet parfois de se rappeler qu’une vie de couple Reine / chevalier ne se vit pas toujours qu’à deux.
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Avertissement
Plaisir solitaire partagé
"J’adore te voir ainsi mon amour. Et toi ? Tu aimes te branler devant moi en imaginant que tu pourrais me faire l’amour ou en pensant à tous mes amants qui goûtent la chaleur de mon ventre alors que tu ne le feras jamais ?
Je sais que tu as honte d’avoir une petite quéquette et de n’avoir accès au plaisir que lorsque je t’autorise à la tripoter devant moi.
Je sais que tu as honte d’être cocu et de ne pouvoir jouir dans ma chatte comme d’autres le font mais quand on a un zizi de petit garçon on a des plaisirs de petit garçon.
Je sais que tu as honte de t’exhiber ainsi devant moi mais je suis ta Maîtresse et à ce titre je dois aussi veiller à ton hygiène sexuelle et vérifier que tu vides bien tes petites couilles quand je le désire et comme je le désire.
Et puisque ton sperme est inutile à mon propre plaisir, je veux qu’il serve aujourd’hui à nourrir le cuir de mes bottes.
Vas-y mon chéri. Maintenant tu peux me demander la permission de te vider. N’oublie pas de bien viser et de me remercier après de t’avoir accorder l’autorisation de l’avoir fait"
Attentions
Il n’est pas rare qu’une Reine qui fait son chevalier cocu lui interdise ce qu’Elle accepte de ses amants à savoir le droit de la pénétrer.
Ce n’est pas une raison pour Elle d’oublier les besoins de ce dernier et de ne pas stimuler parfois son zizi par des caresses affectueuses.
Au contraire même, puisqu’en l’absence de pénétrations (et de fellations) elles se situent – juste après la branlette – à l’avant dernière étape sur l’échelle du plaisir qu’il peut recevoir de la part de sa Reine et qu’à ce titre, que ce soit physiquement ou émotionnellement, elles ont beaucoup plus de valeurs que lorsqu’elles sont pratiquées dans le cadre d’une relation traditionnelle.
Difficile à accepter
Même si ce n’est a priori pas une activité dégradante, le fait lorsqu’on est chevalier de devoir guider le sexe d’un autre homme dans l’intimité de sa Reine est particulièrement difficile à accepter.
En effet, si par amour pour Elle, il a toutes les raisons d’accepter d’être cocu, l’aide ainsi apportée le rend non seulement complice mais également responsable de sa propre cocufication.
La frustration, la jalousie et l’humiliation ressenties seront d’autant plus grandes s’il est chaste, donc interdit de pénétration, et qu’il ne pourra jamais profiter du plaisir qu’il "offre" ainsi à un autre.
Faute de mieux
"Mon amour, puisque tu serais bien incapable de me satisfaire avec la petite quéquette qui te sert d’attribut sexuel, et puisque aucun de mes amants n’est disponible ce soir, je te propose d’essayer de me donner du plaisir avec ce god. Bien sûr ce ne sera pas pareil mais au moins auras tu l’occasion de me remplir le ventre, même par procuration."
Sans intermédiaire
Il arrive parfois qu’une Reine confie à son chevalier une culotte tachée de sperme afin qu’il la nettoie. Dans sa grande bonté – mais aussi pour accroitre sa frustration – Elle pourra également de temps en temps autoriser ce dernier à – lui aussi – en salir une avec sa propre semence au cours d’une de ses branlettes.
Bien sûr la tâche sera moins concentrée et sans doute pas vraiment placée au même endroit, puisque le liquide issu du jet ira directement du zizi à la culotte, sans passer par le vagin de sa bien aimée.