Même s’il lui en coûte et lorsqu’il en a accepté volontairement le principe (ou la règle) faire cocu son chevalier n’est peut être pour une Reine considéré comme une forme de tromperie au caractère immoral. Tout juste pourrait-Elle être considérée comme amorale par des âmes bien pensantes, puisqu’Elle fait fi de la morale qui veut qu’une Femme mariée soit monogame, cette "amoralité" n’étant de toute façon pas condamnable puisqu’elle ne trouble en rien l’ordre public.
" Et bien dis donc. Je savais que tu étais excité quand je porte du cuir mais j’ai l’impression que ta chasteté te rend de plus en plus réactif. Désolée, je sais que tu n’aimes pas mais tu vas devoir lécher tout ça. Je ne voudrais pas que tout le monde sache que j’ai un vilain petit garçon fétichiste qui ne peut s’empêcher de juter sur ma veste. "
" Tu vois, je sens que je suis plus amoureuse de toi depuis que tu portes ta cage. Si je n’ai jamais douté de ta fidélité, savoir que tu ne peux ni te toucher ni te branler sans mon accord et ma présence est très réconfortant pour moi. Comme ça je suis sure que ta libido et tes orgasmes sont entièrement tournés vers moi et que jamais tu ne pourras jouir en pensant à une autre que Moi. "
Preuve s’il en était besoin de la faiblesse de l’organe sexuel masculin : un simple glaçon suffit à le faire se rétracter et perdre au moins les 3/4 de son volume.
Une Reine le sait bien et s’en sert, soit pour le préparer à porter une cage de chasteté, soit pour humilier un chevalier déjà mal pourvu par la nature et dont la quéquette de petit garçon prendra des allures de zizi de bébé.
Leçon d’humilité pour un chevalier lorsque sa Reine lui démontre qu’après quelques jours d’abstinence, un simple va et vient sur sa quéquette, sans amour, sans tendresse, sans douceur et pratiqué comme une "traite" suffit rapidement à le faire jouir.
Une manière pour cette dernière, lorsqu’Elle refuse de se donner à lui, de lui faire comprendre que les branlettes sont bien suffisantes pour son équilibre sexuel.
Faire allonger son chevalier à ses pieds est pour certaines Reines l’occasion de lui offrir l’image raccourcie de sa vie : sa soumission à l’autorité Féminine, le fait qu’il soit cocu et celui qu’il soit contrôlé dans sa sexualité.
Les parties couvertes du corps de la Reine dénudées chez le chevalier (et réciproquement), la chasteté de l’un et la liberté sexuelle de l’autre, preuve que leur complémentarité n’exclut pas leurs différences et que – comme le veut la tradition chinoise – la dualité peut-être source d’interdépendance, pour un meilleur équilibre de l’ensemble.
Prise de poses d’une Reine devant son chevalier, d’autant plus frustré quand il est chaste et qu’Elle mime pour lui les gestes qu’Elle accomplira avec son amant pour, qu’en attendant son retour, il puisse imaginer ce qu’Elle fait avec un autre et ne fera jamais avec lui.
" Tu vois mon chéri, je suis bonne Reine. Puisque je me refuse à toi je t’ai trouvé une amante de substitution. Mais de la même manière que je t’autorise parfois à être présent lorsque je suis avec un amant, tu ne pourras la baiser que devant moi et lorsque je l’aurai décidé. "
S’il existe pratiquement autant de formes de sexes Féminins qu’il y a de Femmes, on peut imaginer que la capacité de l’une d’entre Elles à s’ouvrir peut dépendre, surtout lorsque c’est celui d’une Femme libertine de la fréquence, des rapports qu’Elle entretient avec ses amants et /ou de la taille du pénis de ces derniers.
Une offrande obscène pour le regard de son chevalier, particulièrement humiliante s’il est chaste, de ce puits d’amour qu’Elle réserve à d’autre mais dont Elle attend manifestement qu’il en nettoie l’intérieur avec sa langue.
