" Je sais que nous sommes dans un jardin public et rien ne t’empêche d’être discret mais j’ai envie que tu embrasses chacune de mes bottes au moins une fois au niveau de mes pieds avant que nous le quittions. Tu ne voudrais pas me contrarier le jour de la semaine où je t’accorde une branlette ? "
Non Madame. Je ne veux pas vous contrarier, bien au contraire, je souhaite que vous soyez fière de m’avoir sévèrement dressé, mais, je suis envahi de honte. Je sais cependant aussi que la récompense n’en sera que meilleure. Par contre, en cas de refus, pas de récompense, mais une sévère séance de dressage.