" Qu’est ce qui te dérange le plus ? Le fait de ne plus pouvoir t’asseoir sur le canapé en ma présence ou celui de savoir que tu ne pourras plus jamais plonger ta petite nouille dans un ventre Féminin ? "
Archives annuelles : 2025
Clé magique
Sachant qu’une seule de ces clés ouvre sa cage de chasteté et qu’il n’a droit qu’à un essai par jour, quelle est la probabilité pour son chevalier de pouvoir se branler avant la fin du mois ?
Même plan
Sur un même plan, ce qui l’unit à son amant et ce qui l’unit à son chevalier et la promesse, pour lui, s’il la lèche de le libérer provisoirement de sa cage, le temps d’une branlette.
Comme pour Elle
" Il me tarde que mes copines arrivent. Je te rappelle la règle. Quels que soient leurs souhaits, et pour peu qu’ils s’inscrivent dans le cadre de ce que je peux te demander de faire habituellement, tu devras leur obéir exactement comme tu m’obéis. "
Corporel vs spirituel
" Au lieu de te plaindre d’être cocu, pense que je ne leur offre que le corporel, ma bouche et mon ventre, alors qu’à toi j’offre le spirituel, la possibilité de pouvoir me vénérer. "
Le faire autrement
Plutôt que par la parole, lui faire utiliser sa langue autrement pour se faire pardonner.
Sans culotte
" Tu me prends pour qui ? Bien sûr que j’ai mis une culotte ce matin avant de partir travailler. Puisque tu es si curieux, viens donc embrasser mon minou avec ta langue et je pourrais te dire pourquoi je ne l’ai plus. "
Pinceau déclassé
" Si les vilains garçons encourent des punitions, il est normal qu’en contrepartie les gentils garçons méritent des récompenses. J’espère que tu apprécies que j’aie déclassé un de mes pinceaux à maquillage pour pouvoir t’offrir la caresse de ses poils sur ton gland à travers les barreaux de ta cage et que ça t’encouragera à devenir encore meilleur. "
Vraiment minuscule
" Tu avais raison, même débarrassée de sa cage, elle reste vraiment minuscule. "
Connaitre la règle
" Tu connais la règle mon chéri. Seul celui qui a la plus grosse mérite mon attention et mes faveurs et, comme toujours, ce n’est pas toi. Peut-être une prochaine fois ? "
