" Vas-y, secoue ta petite nouille. Moi aussi j’ai mes faiblesses. Si je ne prenais pas autant de plaisir à te savoir honteux quand tu dois te branler devant moi comme un petit garçon, incapable de faire passer sa pudeur avant son plaisir, tu le ferais moins souvent. "
" Répète après moi : si ma Femme est obligée de me faire à nouveau cocu ce soir, c’est uniquement parce que mon zizi de petit garçon est incapable de la satisfaire. "
Il y a 10 minutes il lui a demandé si Elle était seule. Bien qu’étant assise à côté de son mari Elle lui a répondu oui.
" Récapitulons. Tu comprends que pour être heureuse une Femme puisse avoir besoin de liberté tout en exigeant la fidélité de son partenaire. Tu comprends que pour être rassurée Elle puisse souhaiter le contrôler dans tout ce qui touche à leur intimité et à leur vie de couple. Tu comprends que pour se sentir aimée Elle ait besoin qu’on l’adule et qu’on la vénère, voire qu’on s’abaisse pour lui renvoyer l’image de l’amour inconditionnel qu’on lui porte et de la reconnaissance de la grandeur de sa Féminité. Dois-je en conclure que ton Féminisme assumé te conduit à admettre que je te suis Supérieure ?… C’est bien, je vois que tu es un garçon intelligent. "
" Bien sûr qu’à toi aussi je pourrai faire des fellations. Mais uniquement comme ça ; quand tu porteras ta cage de chasteté. "
" Voila, c’est ça ferme les yeux et imagine moi dans les bras d’un autre homme, normalement membré, à qui j’offrirais le plaisir de jouir dans mon ventre plutôt que ma main. "
Même si Elle n’en a pas besoin pour Elle, faire confirmer par une Amie que la quéquette de son chevalier est lamentable renforce le complexe et l’humiliation de ce dernier, donc sa soumission.
" Autant c’est désagréable pour moi de savoir que je pue parfois des pieds, autant c’est réjouissant de savoir que j’ai ta langue à disposition pour me débarrasser de mes odeurs. "
" Sois une gentille fille et soulève ta robe pour montrer à mon Amie cette cage de chasteté et la petite chose qu’elle enferme qui font qu’aucune Femme ne peut voir en toi une once de virilité. "
" Aurais-tu oublié qu’à la fin c’est mon opinion qui prévaut ? Maintenant, sois un gentil garçon et glisse toi sous le bureau pour venir me demander pardon avec ta langue. "
