Le mariage s’il est une officialisation de la relation d’un couple, qui vit le plus souvent depuis longtemps sous le même toit, ne change pas les règles qui le régissent mais il peut être l’occasion pour une Reine de les clarifier au yeux de son chevalier :
Branler son chevalier tout en se moquant de la taille de sa quéquette n’empêchera pas ce dernier de jouir. Au contraire même, cela risque de rendre cette jouissance plus rapide et plus forte.
Explications : En l’humiliant ainsi, sa Reine – puisqu’aucune Femme "ordinaire" n’oserait le faire – lui renvoie l’image de sa liberté de penser et de dire ce qu’Elle veut ainsi que l’assurance de sa supériorité Féminine sur un homme incapable d’affirmer une quelconque virilité, toutes choses qu’il attend finalement d’Elle et qui le rendent plus amoureux.
NB : Puisqu’il est reconnu que le pouvoir est aphrodisiaque, sentir que son chevalier accepte (voire demande) d’être ainsi rabaisser par Elle ne peut qu’être aussi excitant pour une Reine.
"Je suis désolée mon amour. Je sais que ça te vexe, mais à chaque fois que je vois ta quéquette j’ai envie de rigoler"
Une règle comme une autre mais écrite au rouge à lèvres, rappelant que c’est bien le Féminin qui l’emporte sur le masculin et que donc la règle est juste et non négociable.
Si pisser sur le zizi de son chevalier rentre parfaitement dans le processus visant à décrédibiliser sa virilité à ses propres yeux, une Reine ne doit pas oublier que, quelles que soient les vertus qu’ils accordent à son urine, ça ne le fera malheureusement pas pousser.
Puisqu’une Reine n’a (normalement) rien à cacher à son chevalier, le garder à portée de mains (et de pieds) lorsqu’Elle appelle son amant peut rendre sa conversation un peu plus excitante.
Un cadeau de Reine à faire à son chevalier, une cloche à accrocher à un collier – ou mieux à sa quéquette – pour savoir à chacun de ses déplacements exactement où il se trouve.
Une Reine, lorsqu’Elle branle son chevalier comme un petit garçon, peut, afin de lui apprendre à se contrôler, définir une période de temps au cours de laquelle il devra jouir (ou inversement se retenir) et éventuellement le punir s’il n’a pas satisfait à ses obligations.
Grâce à internet notamment, de nombreuses jeunes Femmes – mieux informées que leurs ainées – ont compris que contrôler la sexualité d’un homme c’est s’assurer de sa docilité, de sa prévenance, de sa fidélité et de son amour.
Petite culotte offerte par une Reine à son chevalier pour lui rappeler que, si son absence de virilité (ici manifeste) est rédhibitoire pour certaines activités, elle attend avant tout de lui qu’il lui offre son cœur sans retenue en manifestant par son respect, son obédience, son humilité et sa dévotion, la pureté – et le caractère inconditionnel – de l’amour qu’il Lui porte.
