Archives du mot-clé Féminité

Soumise

Beaucoup de femmes aiment se sentir soumises au cours d’un rapport sexuel mais pas du tout dans le reste de leur vie.

Ce qui peut créer un problème dans un couple normal – suivant que l’homme soit "macho" ou non la femme sera frustrée dans sa vie de tous les jours ou dans sa vie sexuelle – ce gère plus facilement dans une relation D/s.

En effet la Reine peut alors être dominante vis à vis de son chevalier et s’accorder de courtes périodes ou elle se sentira soumise auprès de ses amants.

Cela ne changera rien dans le fait que le chevalier la voit comme Reine puisque :

  • Elle le domine
  • Elle ne se soumet que parce qu’elle l’a décidé, uniquement quand elle le souhaite et qu’elle peut mettre un terme à ces relations à tout moment (en d’autres termes en maitrisant ses choix, elle garde la main et – comme la plupart des soumises – décide in fine du sens qu’elle entend donner à ces relations)

Mieux : en accordant à d’autres ce qu’elle lui refuse, son ascendant sur lui sera renforcé.


 

Travail du soir

Lorsqu’une Reine rentre chez elle, un chevalier peut (ou doit) :

  • Embrasser ses chaussures en signe de respect et les lui ôter (avant de les cirer plus tard)
  • Embrasser le fond de sa culotte et la lui ôter (avant de la laver à la main plus tard)
  • Lécher son intimité pour la nettoyer et lui redonner la fraicheur qu’elle avait le matin

Papier toilette

Beaucoup de Reines apprécient d’utiliser la langue de leur chevalier pour les essuyer après qu’elles aient uriné.

Il peut y avoir plusieurs raisons à cela :

  • C’est plus doux
  • C’est plus économique.
  • C’est la preuve que leur chevalier les aime dans toutes les composantes de leur féminité et pas seulement son côté glamour.
  • C’est un moyen récurrent (sans jeu de mots) de lui rappeler (plusieurs fois par jour) que ce sont elles qui détiennent le pouvoir dans leur couple et que s’abaisser ainsi c’est les faire grandir.

Cela peut se faire à la maison

 

Ou en extérieur quand il n’y a de toute façon – le plus souvent – pas d’alternative.

Bien sûr qui peut le plus peut le moins et la langue du chevalier peut aussi servir de gant de toilette.