Lorsqu’une Reine enfile des gants de latex, c’est souvent pour le plaisir de doigter le cul de son chevalier. Lorsque ce plaisir est peu partagé par ce dernier, lui offrir à respirer les odeurs intimes qui imprègnent sa petite culotte peut constituer une forme d’anesthésiant ou au pire une compensation offerte par sa Reine.
Suivant la position qu’une Reine donne à son chevalier, ce dernier, lorsqu’il est bien éduqué, comprend instantanément ou Elle entend qu’il dépose ses baisers pour l’honorer.
Certaines Femmes acceptent de suivre. D’autres préfèrent précéder.
Quand un chevalier n’est pas débordé et que sa Reine a Elle-même quelques instants à tuer, lui trouver une occupation qui renforce son sentiment de soumission – tout en donnant du plaisir à sa bien aimée – est toujours bienvenu pour renforcer les liens de leur couple.
Même lorsqu’ils se promènent, il n’est pas rare que Reine et chevalier ne partagent pas le même point de vue.
Les parties couvertes du corps de la Reine dénudées chez le chevalier (et réciproquement), la chasteté de l’un et la liberté sexuelle de l’autre, preuve que leur complémentarité n’exclut pas leurs différences et que – comme le veut la tradition chinoise – la dualité peut-être source d’interdépendance, pour un meilleur équilibre de l’ensemble.
En signe d’humilité et de soumission, être assis (ou à genoux) en fixant du regard ses bottes qu’il devra embrasser en signe d’acceptation et écouter les consignes (remarques ou recommandations) formulées par sa Reine.
Pour une Reine il existe une infinité de moyens de signifier à son chevalier qu’Elle le possède.
Sur simple ordre de sa Reine, et ce quel que soit le moment de la journée, un chevalier doit pouvoir se déshabiller en signe d’humilité et venir vénérer ses pieds en signe de soumission.
Une Reine peut rappeler à son chevalier, en tout lieu, à tout moment et sans accessoires particuliers, qu’Elle est indubitablement la cheffe.
