Un petit tag au feutre sur le pubis de son chevalier pour lui rappeler que si Elle peut offrir son sexe à qui Elle veut, la quéquette de ce dernier est non seulement sa propriété exclusive mais également qu’Elle la contrôle complétement.
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Symbole
Image symbolique d’une relation idéale dédiée à la suprématie Féminine, où l’homme accepte volontairement d’être contrôlé dans ses actes, sa parole et sa sexualité par le pouvoir Féminin parce qu’il aura eu la chance de rencontrer une Femme à l’autorité naturelle qui aura su le guider et le dresser à lui obéir et grandir dans la soumission qu’Elle attend de lui, par amour pour Elle.
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Cumul
Nudité, cage de chasteté, fessée et humilité devant une Femme qui n’a pas besoin d’arguments fétichistes pour imposer son pouvoir, ce chevalier cumule presque tous les signes de la soumission à l’autorité Féminine.
Apprendre à sucer un god
"Regarde-moi bien faire car à partir de maintenant c’est toi qui devra préparer et lubrifier mes gods avant que je ne m’en serve."
"Tu devras les sucer comme je le fais, en imaginant exciter la queue d’un de mes amants. D’ailleurs il est pour toi une sorte d’amant qui te fait cocu puisqu’il est destiné à se glisser dans une partie de mon corps ou ta quéquette n’ira jamais."
"A ce titre tu devras l’honorer et le vénérer comme tu le fais avec mes bottes et mes culottes, en y mettant le même entrain et la même conviction."
"Je t’apprendrai toutes les techniques qui rendent un homme heureux et tu devras y ajouter la passion pour qu’en te regardant faire mon excitation soit la même que lorsque je le fais."
" Maintenant prend le god noir et fait comme moi, suce le bien. Dès qu’il sera prêt tu pourras le glisser dans ma chatte et je t’apprendrais comment me faire jouir avec une queue bien plus réelle que la tienne."
Incontournables
Au cours de l’évolution d’une relation Reine / chevalier, quand bien même ils ne seraient pas destinés à être portés 24h/24, il arrive un moment où certains objets deviennent incontournables.
Plaisir taquin
Sourire taquin d’une Reine qui vérifie, avant de partir rejoindre son amant, que la cage du petit oiseau de son chevalier est bien fermée et qu’ainsi le plaisir sexuel qu’Elle recevra sera renforcé par celui plus intellectuel de savoir que ce dernier, ne pouvant se libérer de sa frustration, n’aura de cesse de penser à Elle et ses aventures libertines et ce jusqu’à son retour.
Et alors ?
" Tu as une queue et alors ? Tu entends prouver quoi ? Qu’à ce titre je devrais te considérer comme étant mon roi alors qu’elle est minuscule, que je la contrôle, que jamais elle ne me baisera et que je te fais cocu comme je l’entends ?"
" Désolée, pour moi c’est juste une quéquette de petit garçon et j’aimerais que tu ne l’oublies pas ! "
Piqure de rappel
Le mariage s’il est une officialisation de la relation d’un couple, qui vit le plus souvent depuis longtemps sous le même toit, ne change pas les règles qui le régissent mais il peut être l’occasion pour une Reine de les clarifier au yeux de son chevalier :
- Marié ou pas, il ne peut s’attendre à consommer ce mariage.
- Il sera toujours fait cocu mais au moins puisqu’il devient époux cela devient officiel
Branlette humiliante
Branler son chevalier tout en se moquant de la taille de sa quéquette n’empêchera pas ce dernier de jouir. Au contraire même, cela risque de rendre cette jouissance plus rapide et plus forte.
Explications : En l’humiliant ainsi, sa Reine – puisqu’aucune Femme "ordinaire" n’oserait le faire – lui renvoie l’image de sa liberté de penser et de dire ce qu’Elle veut ainsi que l’assurance de sa supériorité Féminine sur un homme incapable d’affirmer une quelconque virilité, toutes choses qu’il attend finalement d’Elle et qui le rendent plus amoureux.
NB : Puisqu’il est reconnu que le pouvoir est aphrodisiaque, sentir que son chevalier accepte (voire demande) d’être ainsi rabaisser par Elle ne peut qu’être aussi excitant pour une Reine.
Pensée
Malgré la chance qu’il a d’être proche d’Elle, un chevalier chaste et cocu, lorsqu’il voit, lèche, nettoie ou vénère l’intimité de sa Reine, ne peut s’empêcher de penser (souvent pour le plus grand plaisir de cette dernière) à tous les sexes mâles qui ont connu ou connaitront la douceur de ses nymphes, alors que lui n’en connaitra jamais que le vestibule.
