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Froid aux fesses

Il est des lieux où un chevalier se trouve fort dépourvu (voire déstabilisé) lorsque sa Reine lui annonce qu’Elle a froid aux fesses.
Lorsqu’ils sont désertiques (ce qui n’est malheureusement pas toujours le cas), il pourra toujours suivre ses instructions pour palier à se problème ou, au pire, trouver une alternative pour détourner son attention et la réchauffer autrement.

Apprentissage fondamental

Dans une relation fondée sur la supériorité Féminine, ce n’est pas le pénis de l’homme mais bien la vulve de la Femme, son bien être et sa satisfaction, qui sont au cœur des préoccupations du couple.
A ce titre, le complément naturel de l’intimité d’une Reine est moins le sexe d’un amant (même s’il est parfois nécessaire) que la bouche de son chevalier.

Toujours dans ce type de relation, la bouche de l’homme a deux fonctions essentielles : celle de donner du plaisir et celle de nettoyer l’intimité (voir ce qu’est un Pussy boy) de la Femme.

Il est donc fondamental qu’une Reine dresse son chevalier à la lécher et faire que sa langue atteigne le niveau de performance qu’Elle attend d’elle dans ces deux domaines.

Ce dressage passe d’abord par une partie théorique (même sans tableau noir) où le chevalier devra :

  • Apprendre le fonctionnement d’un sexe Féminin (trop peu d’hommes s’en soucient) et particulièrement de celui de sa Reine.
  • Comprendre que ce qui peut être considéré comme déchets par une Femme doit être vu comme merveilleux par un homme (puisqu’ils proviennent de ce qu’Elle a de plus merveilleux à ses yeux) et qu’à ce titre servir de gant de toilette est non seulement un devoir mais également un honneur.
  • Assimiler que si certaines tâches seront programmées (toilette du matin, du soir, du retour du travail) le bien être de sa Reine est prioritaire et qu’à tout moment Elle pourra exiger de lui qu’il abandonne une activité pour lui offrir sa langue.

Il y a ensuite évidemment toute une partie pratique consistant à mettre en œuvre la partie théorique où la Reine apprend au chevalier :

  • Les techniques qui lui donnent du plaisir, les moyens de le faire durer sans la frustrer ou de l’accélérer pour lui donner un orgasme rapide.
  • A bien différencier celles nécessaires pour bien la nettoyer et celles qui la conduisent à la jouissance (si Elle souhaite que la seconde suive un nettoyage c’est à Elle de le décider et pas à lui d’anticiper)
  • A supporter puis apprécier des odeurs et des goûts plus prononcés que la moyenne (qui peut le plus peut le moins)

Dans l’idéal cet apprentissage devrait être avant tout fondé sur la persuasion, la force de conviction et la tendresse afin de rendre le chevalier non seulement serviteur mais également demandeur et la Reine satisfaite de sentir qu’il l’aime de manière inconditionnelle à travers tous les aspects de sa Féminité.

 

Amour et humiliations

Une Femme dominante par nature ne peut généralement être amoureuse durablement que d’un homme qui accepte de se soumettre à son autorité.

Humilier et abaisser son chevalier, lui imposer la chasteté, le faire cocu, le dresser à être obéissant et à la vénérer n’est donc pas pour une Reine un manque de respect ou une marque de désamour à son égard mais au contraire un moyen de l’aider à progresser dans sa soumission, à en repousser les limites, à le libérer des ses inhibitions, à accepter de se livrer sans retenue et à comprendre que l’amour qu’Elle lui porte est intimement lié à sa capacité à comprendre que la satisfaction des besoins d’une Femme dominante est le pivot de ce qui fait la réussite de sa vie de couple.

Enfin lorsqu’Elle aura besoin de tendresse, Elle aura la certitude que les câlins reçus ou donnés ne seront pas vus comme une marque de faiblesse mais comme une part également nécessaire à son équilibre affectif et son besoin d’empathie.

Bref amour et humiliation sont pour une Reine deux termes dont l’association est non seulement parfaitement naturel mais aussi souvent nécessaire à l’équilibre de la relation qu’Elle entretient avec son chevalier

Chaîne d’intérieur

S’il peut être parfois difficile pour une Femme de porter une chaîne de cheville en public (notamment – et pour des raisons de discrétion – sur son lieu de travail), demander à son chevalier (puisque le message qu’elle véhicule s’adresse aussi à lui) de la lui passer lorsqu’Elle rentre chez Elle.

Non seulement cela donnera l’occasion à ce dernier – entre autres lorsqu’il honorera ses pieds – de ne pas oublier qu’Elle a tous les pouvoirs, dont celui de le faire cocu mais Elle pourra également la lui faire embrasser et la remercier d’avoir des amants, puisqu’un des arguments justifiant la liberté d’une Reine tient dans le fait que son absence de frustration sexuelle la rend plus amoureuse de son chevalier.

Ré-éducation

Considérer son chevalier (au moins parfois) comme un petit garçon c’est pour une Reine l’occasion de reprendre à zéro son éducation notamment sur tout ce qui concerne ses rapports avec une Femme, afin de le conduire à accepter puis à voir comme naturel sa supériorité Féminine et l’impérieuse nécessité qu’il y a pour un homme à se soumettre à son autorité et à l’honorer s’il veut réussir sa vie de couple.

Trop courte

Certaines jupes sont trop courtes pour pouvoir être portées ailleurs que chez soi.

En posséder une peut néanmoins procurer de nombreux avantages pour une Reine, qu’Elle soit avec son amant ou son chevalier et ce pour des raisons différentes.

Avec son amant :

Profiter que le côté face ne cache rien de sa culotte et/ou de son intimité lorsqu’Elle est assise, ce qui ne peut qu’attirer les doigts de ce dernier en guise d’apéritif à une soirée riche.

Avec son chevalier :

Profiter que le côté pile ne cache pas le bas de ses fesses, afin que les honorant de ses baisers à partir de sa taille, il puisse arrivé à l’ourlet embrasser sa peau nue et poursuivre son exploration jusqu’au creux de ses jambes.