Archives pour la catégorie Réfléxions

Mécanique des fluides

Bien qu’éjecté parfois de manière ascendante, le sperme d’un chevalier a moins de valeur que l’urine de sa Reine quand bien même Elle est projetée de manière descendante.

En effet le sperme d’un chevalier est peu (ou totalement) inutile aux yeux de sa Reine (surtout s’il est chaste et qui ne peut lui donner de plaisir en jouissant dans son ventre) alors que l’urine de cette dernière sert autant à humilier celui qui accepte de la recevoir qu’à le marquer physiquement au moyen de son odeurs et de ses phéromones.

A ce titre cette urine, comme tout ce qui provient de son intimité, est (aux yeux d’un homme soumis au moins) un des instruments participant à lui donner son pouvoir Féminin.

Obliger son soumis à se branler (voire à jouir parfois) alors qu’Elle lui pisse dessus est un moyen pour une Reine de lui faire comprendre que si son sperme est une conséquence de son plaisir c’est bien l’urine de sa Maîtresse qui en est la cause et que donc, dans le type de relation qu’ils ont engagée, l’urine de la Femme à plus de valeur que le sperme de l’homme.

Chaîne d’intérieur

S’il peut être parfois difficile pour une Femme de porter une chaîne de cheville en public (notamment – et pour des raisons de discrétion – sur son lieu de travail), demander à son chevalier (puisque le message qu’elle véhicule s’adresse aussi à lui) de la lui passer lorsqu’Elle rentre chez Elle.

Non seulement cela donnera l’occasion à ce dernier – entre autres lorsqu’il honorera ses pieds – de ne pas oublier qu’Elle a tous les pouvoirs, dont celui de le faire cocu mais Elle pourra également la lui faire embrasser et la remercier d’avoir des amants, puisqu’un des arguments justifiant la liberté d’une Reine tient dans le fait que son absence de frustration sexuelle la rend plus amoureuse de son chevalier.

Ré-éducation

Considérer son chevalier (au moins parfois) comme un petit garçon c’est pour une Reine l’occasion de reprendre à zéro son éducation notamment sur tout ce qui concerne ses rapports avec une Femme, afin de le conduire à accepter puis à voir comme naturel sa supériorité Féminine et l’impérieuse nécessité qu’il y a pour un homme à se soumettre à son autorité et à l’honorer s’il veut réussir sa vie de couple.

Branlette humiliante

Branler son chevalier tout en se moquant de la taille de sa quéquette n’empêchera pas ce dernier de jouir. Au contraire même, cela risque de rendre cette jouissance plus rapide et plus forte.

Explications : En l’humiliant ainsi, sa Reine – puisqu’aucune Femme "ordinaire" n’oserait le faire – lui renvoie l’image de sa liberté de penser et de dire ce qu’Elle veut ainsi que l’assurance de sa supériorité Féminine sur un homme incapable d’affirmer une quelconque virilité, toutes choses qu’il attend finalement d’Elle et qui le rendent plus amoureux.

NB : Puisqu’il est reconnu que le pouvoir est aphrodisiaque, sentir que son chevalier accepte (voire demande) d’être ainsi rabaisser par Elle ne peut qu’être aussi excitant pour une Reine.

Température

Avec la parfaite mauvaise foi qui peut la caractériser lorsqu’Elle est taquine, une Reine peut prétendre que son doigt est suffisamment sensible pour servir de thermomètre rectal et ce avec un aplomb d’autant plus imparable qu’effectivement il lui suffira d’annoncer 37 ° à +/- 0.5 ° pour avoir raison dans 99% des cas.

Un chevalier sait néanmoins que, sous ce prétexte métaphorique auquel il ne pourra pas échapper, il s’agit de le conduire à se sentir petit garçon aux mains d’une adulte bienveillante (mais également un peu libidineuse) qui prend soin de sa santé, mais aussi de reconnaitre sa soumission entière en acceptant qu’Elle fouille ainsi une partie de son anatomie qu’un homme garde en général inviolée.

Pussy Boy

Le terme pussy boy définit en anglais un homme non seulement psychologiquement soumis à l’autorité d’une Femme mais également totalement dévoué au bien être de sa Vulve qu’il voit comme la chose la plus importante à l’intérieur de leur couple.

Toute Reine a donc intérêt à conduire rapidement son chevalier à devenir un pussy boy pour qu’il devienne (pratiquement littéralement) esclave de son intimité.

A ce titre utiliser sa langue comme gant de toilette s’avère nécessaire mais également – pour peu que cela soit fait régulièrement – suffisant pour qu’elle remplace définitivement tout autre instrument (douche, lingette, etc).

Si le nettoyage du sperme d’un amant fait partie des fantasmes récurrents de certains couples, force est de constater que c’est extrêmement rare et que l’essentiel des toilettes consistent à débarrasser la Reine de fluides et d’odeurs que sa propre intimité aura secrété.

Le côté humiliant qu’il y a à lécher ainsi les déchets de l’intimité de sa Reine sera pour le chevalier contre-balancé par le sentiment de noblesse qu’il y a à honorer et servir ce qui fait l’essence même de sa Féminité

Pour la Reine, ces toilettes sont l’occasion de profiter du plaisir physique que lui procure la langue de son chevalier mais aussi de créer des moments d’intimité où Elle aura la satisfaction de constater que rien ne saurait altérer son statut de Reine aux yeux d’un homme totalement soumis à tous les aspects de sa Féminité, même les moins "glamours".