" Comme on dit : les promesses n’engagent que ceux qui y croit. Quand je t’ai dit que tu pourrais te branler aujourd’hui parce que c’est un jour férié, tout excité à cette idée tu as complétement oublié que nous étions le 1er avril. Jour férié oblige, nous aurons le temps et, pour me faire pardonner ma promesse taquine, je t’autoriserai à me lécher abondamment pour que tu oublies ta frustration. "
" Tu aimes mes nouvelles bottes ? Je les ai achetées en pensant à toi. Quand tes couilles auront leur couleur, peut-être songerai-je à te retirer ta cage, pour que tu puisses les libérer, mais pas avant. En attendant tu peux toujours les embrasser pour les remercier de ne pas être noires. "
" Si tu me trouves sexy je pense que ce sera aussi son cas. D’autant plus que je lui réserve un bonus : Pour lui je ne porterai pas de soutien-gorge et je suis sure qu’il comprendra que ça vaut consentement. "
" Puisqu’il est acquis que le canapé me sera réservé, trouvons pour toi un pouf ou un coussin pour épargner ton cul de la dureté du sol. "
Pour garder de la distance, porter des gants lorsqu’Elle touche l’appareil génital de son soumis.
" Sous ma robe se trouve l’autel sacré de ma Féminité qui me confère Autorité et Pouvoir sur toi. A ce titre tu devras le vénérer, l’adorer et le servir, sans réserve, avec ta langue à chaque fois que je te l’ordonnerai. Me suis-je bien faite comprendre ? "
" Tu es si délicieusement ridicule dans cette tenue que tu arrives à me faire rire. Pour me faire pardonner je t’autorise à embrasser mes bottes. "
" On pensait que ta Reine était magicienne pour faire entrer ton zizi dans une aussi petite cage de chasteté mais il parait que c’est juste parce qu’il a arrêté de pousser quand tu avais 12 ans. C’est vrai ? "
" Ce soir je veux qu’on sache que tu n’es pas que cocu. Passe-moi la chaîne de cou qui porte la clé de ta cage de chasteté. "
" Vu tout ce que tu viens de me dire, ne trouves-tu pas que je mériterais que tu t’agenouilles devant moi ? "
