Branlette supervisée

Superviser les branlettes de son chevalier a pour une Reine de multiples avantages.

Parmi ceux ci : le mettre dans une situation très humiliante bien sûr (surtout s’il est chaste et que c’est pour lui le seul moyen de jouir) mais aussi d’empêcher que son esprit vagabonde (au risque de la tromper même virtuellement) et donc s’assurer que tous ses fantasmes masturbatoires soient uniquement tournés vers Elle.


Femme infidèle

Par définition, une Reine qui fait cocu son chevalier ne le trompe pas, puisqu’il est – normalement – tenu au courant de ses aventures et que cela fait partie de règles régissant leur relation, qu’il a acceptées.

Néanmoins, séduire un homme, voire une Femme (ou accepter de rentrer dans le jeu de la séduction qu’il lui propose) et ce à la vue de son chevalier, peut créer une excitation supplémentaire chez une Reine et ce d’autant plusqu’elle ressentira chez ce dernier l’humiliation de devoir assister passif à la scène.


Facile à comprendre

Même novice, un chevalier lorsque sa Reine lui demande de s’agenouiller et se place ainsi devant lui, comprend qu’il doit embrasser ses fesses.

Une fois éduqué, il saura aussi que lorsque la matière si prête elle pourrait parfois préférer qu’il lèche sa jupe afin qu’Elle sente sa langue sans avoir le désagrément de sentir sa peau humide.



Apparence viril

Ce n’est pas parce qu’un homme a une apparence très viril, qu’il ne cache pas sous son pantalon un zizi de petit garçon incapable de satisfaire pleinement l’appétit sexuel de sa Femme.

En bon chevalier – lorsqu’il l’est – il doit accepter que d’autres hommes se substituent à lui, afin de ne pas frustrer sa Reine de plaisirs qu’il ne saurait lui offrir.

 


Exposition anale

Lorsqu’un chevalier offre ainsi son cul à sa Reine c’est parce que cette dernière peut souhaiter (entre autres) :

  • Vérifier qu’il est bien propre et bien épilé (ainsi que le dessous de ses couilles),
  • Prendre sa température,
  • Le fourrer avec un suppositoire à la glycérine,
  • Le préparer à un lavement,
  • Lui faire un massage de la prostate,
  • Le parer avec le rosebud qu’elle lui a offert.

Cela dépend des jours et de son humeur mais un futur chevalier doit s’attendre à subir tout ou partie de ce qui est indiqué dans cette liste.


Eau froide

Il n’y a encore pas si longtemps, lorsqu’un enfant avait besoin d’être calmé, on lui passait la tête sous une douche d’eau froide.

Aujourd’hui une Reine peut sensiblement utiliser la même technique (que ce soit pour le "calmer" ou lui rappeler son devoir d’humilité) envers son chevalier mais en utilisant un autre instrument bien plus humiliant et plus aspergeant (tout en ne redoutant pas des projections d’eau qui l’atteindraient Elle).

Si le bol des toilettes doit être propre (dépourvu de germes) rien ne l’empêche de le remplir d’urine juste avant (comme sur la photo ?) de tirer la chasse d’eau et – dans un second temps – de procéder (ou non) à un rinçage à l’eau claire.




Obéissance

Ce n’est pas parce qu’une Reine et un chevalier vivent une relation d’amour, de complicité et de partage qu’ils doivent oublier les règles fondamentales qui régissent leur couple.

  • Une dominante cherche avant tout chez l’homme idéal – entre autres vertus – sa capacité à accepter de lui obéir en tout lieu et en tout temps (pour peu qu’Elle ne le mette pas en danger).
  • D’un autre côté, un homme de nature soumise cherche une Femme au charisme naturel qui saura s’imposer à lui.

Une fois la relation établie, les aléas mais aussi les plaisirs de la vie quotidienne, font que chacun risque d’oublier ce préalable.

Un chevalier doit donc comprendre que la tendresse et l’empathie que lui offre une Reine ne veut pas dire faiblesse et cette dernière a tout intérêt à le lui rappeler de façon récurrente – voire autoritaire si nécessaire – afin que leur relation ne devienne pas "républicaine" (c’est à dire égalitaire) et contre-productive.